diff --git a/.gitignore b/.gitignore index c60731c..7b72684 100644 --- a/.gitignore +++ b/.gitignore @@ -9,5 +9,5 @@ bin/* build* *.user lib -deploy +deploy/SparrowBot* res/rpg.save diff --git a/app/fourasmodule.cpp b/app/fourasmodule.cpp index 3766be9..7cf1f2f 100644 --- a/app/fourasmodule.cpp +++ b/app/fourasmodule.cpp @@ -7,7 +7,7 @@ FourasModule::FourasModule() : current(-1) { - riddles = new Riddles("../../res/fouras.txt", "../../res/fourasAnswers.txt"); + riddles = new Riddles("res/fouras.txt", "res/fourasAnswers.txt"); std::srand(time(NULL)); } diff --git a/app/regismodule.cpp b/app/regismodule.cpp index f156e9c..55c46cc 100644 --- a/app/regismodule.cpp +++ b/app/regismodule.cpp @@ -3,7 +3,7 @@ RegisModule::RegisModule() { - voc.load("../../res/vocab.txt"); + voc.load("res/vocab.txt"); } bool RegisModule::messageHandler(Message msg) diff --git a/res/fouras.txt b/deploy/res/fouras.txt similarity index 100% rename from res/fouras.txt rename to deploy/res/fouras.txt diff --git a/res/fourasAnswers.txt b/deploy/res/fourasAnswers.txt similarity index 100% rename from res/fourasAnswers.txt rename to deploy/res/fourasAnswers.txt diff --git a/res/vocab.txt b/deploy/res/vocab.txt similarity index 100% rename from res/vocab.txt rename to deploy/res/vocab.txt diff --git a/res/fouras.txt.bak b/res/fouras.txt.bak deleted file mode 100644 index e038134..0000000 --- a/res/fouras.txt.bak +++ /dev/null @@ -1,457 +0,0 @@ -Pas très aimé des citadins, -Enfants et vieux aiment l’attirer ; -Il peuple pourtant toits et jardins, -Des escrocs, il est le jouet. - -Mûr à point, l’été il est fauché ; -Fauché, on l’est de n’en point avoir. - -C’est un petit air léger qui nous ravit l’été. -Sans « R », elle est glaciale, -Car plutôt hivernale. - -On la tourne pour avancer ; -Mais quand on l’est, cela signifie « être branché ». - -C’est la partie intégrante d’un pont ; -Le rendre, c’est en avoir ras le bol ; -Contre les taches, c’est une protection. - -Lorsqu’il n’est pas industriel, on ne manque pas de l’admirer. -Propre, il devient une chaussée. -Sur le Web, on peut le consulter. - -On peut la visiter ou bien la savourer ; -Mais ce projectile léger peut-être un vrai danger. - -Elle est parfois artificielle ou bien encore naturelle. -Mais en l’accomplissant, on prend des risques importants. - -Affichant de hauts bois, il ne craint pas le froid. -Lorsqu’on le prend, c’est pour aller plus loin. - -Redoutable machine de guerre, des murs lui cédèrent naguère. -Généralement, il blatère ; -C’est aussi un signe de naissance. - -Il peut être rond, carré et bien moulé. -Servi au marché, il est découpé. -Ça ne vaut pas le coup d’en faire un, surtout pour de tout petits riens. - -Le vinaigre n’est pas conseillé pour l’attraper ; -Elle est évoquée quand la cible est touchée. -Le curieux aimerait parfois en être une. - -Il a une arête et deux ailes de chaque côté. -Parfois comparé à une trompette, qui n’est pas forcément bouchée. - -Il est bon quand il est tôt. -Quand il est tôt, il est petit. -Mais aussi il peut être beau. -Et quand il est tard, il est fini. - -La catastrophe vous a frôlé si près de vous il est passé. -Et personne n’est ménagé quand rouge il est tiré. - -Pour un secret, on peut l’acheter. -On peut se taire et le garder. -Dans un studio, avant de filmer, c’est toujours lui qui est demandé. - -Elle nous tire les larmes des yeux sans que nous éprouvions de chagrin. -Elle suit lentement son chemin qui la mène toujours vers les cieux. -On dit qu’il n’y en a pas sans feu. - -Parfois nouvelle, parfois pleine, -Sa couleur n’est pas celle de l’ébène. -Des rêveurs elle est la retraite favorite, -C’est le pays des Sélénites. - -Si le vent le pousse et l’excite, -Il dévore tout ce qu’il boit. -Son appétit est sans limite. -Mais s’il boit trop, il se noie. - -Toujours le premier, -Jamais le dernier, -Rien sans lui n’est jamais fini, -Car rien ne peut commencer sans lui. - -Quand le jour se lève, il est là, -Mais c’est à la fin qu’on le pose. -Il exprime aussi un état -Et aide à préciser les choses. - -C’est un accessoire très utile -Qui est petit et attachant. -Et s’il ne tient que par un fil, -Il se fixe aussi en pressant. - -D’un être ou d’une chose, elle est ce que l’on voit. -Et si par une on peut être trompé, -Il en est d’autres que l’on peut sauver. - -Cette donnée que l’on voit changer -Tout au long de l’année, -Peut être fixée pour se rencontrer. - -D’une arme à feu il peut être une pièce. -Et nos amis sont nombreux Issus de son espèce. - -Douceur d’une ouvrière obscure et sans grade, -Friandise princière, -Régal de plantigrade. - -S’il vous voit vieillir sans jamais rien vous dire, -C’est parce qu’il est poli. -Alors réfléchissez, -Dites-moi de qui il s’agit. - -Il aime à être montré et suivi, -Et l’imiter est toujours bon. -Il peut servir de leçon -Et de mise en garde aussi. - -Grâce à lui, on peut se nourrir ; -On peut se fleurir aussi. -Public, à tous il est ouvert, -Secret, il l’est pour ceux qui aiment se taire. - -Un requin peut nous y faire penser, -Un champion peut l’utiliser, -Mais il n’est alors pas pareil à celui que l’on a dans l’oreille. - -On peut y mettre ses papiers, -Son argent ou bien ses clés. -C’est aussi une façon de se coiffer, -Ou bien encore un fruit à déguster. - -Elle communique les vibrations qui font chanter le violon. -On la cherche par amour, -Mais on doit la rendre un jour. - -Si en amour ils sont appréciés, -Les gros, eux, sont à éviter. -Les auteurs en ont des fameux, -Et certains servent pour des jeux. - -Autrefois, le maître en frappait le cancre, qui la redoutait. -Utilisée par le dessinateur, -Elle doit être suivie par les joueurs. - -Habitués des bibliothèques -Ou danseurs, -Leur avarice est légendaire. -Au moindre grain, Ils quittent le navire. - -Ni Dieu ni homme, -Sa patience est reconnue. -Quand il est passé, la conversation continue. - -On le demande, -On le poursuit, -On le perd, -On le passe. - -Quand il est cloche, il ne sonne pas. -Quand il est melon, on ne le mange pas. - -Au XVIIe siècle, elle était magique. -Au XVIIIe, elle devint gibet. -Aujourd’hui elle est rouge pour le dernier. - -A la mairie pour les mariés, -A la barre pour la vérité, -Sur la piste pour le passer. - -Il est aimé de la tête aux pieds, -Mais ses tours sont détestés. - -Il a jardin et sports malgré son renom. -Époque des veillées, -Au nord au sud, il a un nom. - -En noir ou en couleur, -Point besoin de docteur car s’il a bonne mine -On peut suivre sa trace. - -Son cheval n’est point sellé, -Mais son plan toujours dressé. -Perdue ou gagnée, -Elle est toujours livrée. - -Appliqué d’une main, il marque l’offense. -Activé des deux mains, de la flamme il conduit la danse. - -Entêté par tradition, -Son bonnet est humiliation. -Il est aussi grison, -Pour avoir du son. - -Son coup n’est pas fatal, mais souvent musical. -Elle est cuite et moulée -Pour être mieux dégustée. - -Malgré ce qui se dit, Le canard le redoute aussi. -Malgré son nom, il brûle aussi -Et les liquides il solidifie. - -Délicieuse, elle est croquée entre amis. -Dangereuse, elle est lancée aux ennemis. - -Encore fléau à notre époque, -Par le loup souvent on l’évoque. -On peut hélas en souffrir -Parfois au point d’en mourir. - -Bien mal gardé est le secret de ce jouet. -Mener sa vie, n’est qu’une facétie. - -Instrument du bourreau, -Elle accompagnait le billot. -Si ne la laisse point en terre, on se prépare à la guerre. - -Née d’un lapin ou d’un agneau, -Elle tient toujours chaud. -Qu’elle soit brute ou peignée -Elle peut venir des Pyrénées. - -Quand on joue, il faut la rattraper. -Quand on la tire, il faut l’éviter. - -Ses formules sont connues, -Celle du cœur est peu pratiquée. -Apanage des hommes civilisés, -Elle est encore bien méconnue. - -Quand on est dedans, on ne sait plus où l’on est. -Il n’est fait que d’eau -Mais peut devenir un impénétrable rideau. - -Signe habituel de réconciliation, -Pour Judas il fut signe de trahison. -On le donne, on le prend, -On le reçoit, on le rend. - -Ce Génois exilé, ne vit pas les Indes convoitées. -Pour les yeux d’une Isabelle, -Il découvrit des terres nouvelles. - -Il est le point de départ -Sans mener nulle part. -Terreur de l’écolier -Surtout s’il est pointé. - -Malgré sa douceur, sa patte n’est pas sans douleur. -Jouer dessus est assurance d’être vainqueur. - -Souvent inhabité, -Il est inutile d’y parler. -Mais hélas, sans le désirer, on doit parfois le traverser. - -Oiseau des champs -Au cri strident, -Il est auteur anonyme de lettres pousse-au-crime. - -Il est hier, -Simple ou composé -Et peut remonter à l’Antiquité -Car, sans lui, demain ne signifie rien. - -Il est toujours à l’est -Et ne passera jamais à l’ouest. -Il assiste à un lever -Et jamais à un coucher. - -Chacun a la sienne que nul ne doit copier, -Car l’imiter peut nous faire emprisonner. -Fameuse et attestée, elle est collectionnée -Et pourtant, une simple croix peut la remplacer. - -Elle porte manteau et tablier -Et se cache sous son rideau pour ronfler. -Une fois par an elle est visitée -Par un barbu au dos chargé. - -En altitude, c’est une dépression -Et un passage que nous empruntons. -Pratique même s’il est faux, -Blanc, il se trouve dans un bureau. - -Celui qui le possède est bien informé, -Malheureusement il est parfois crevé. -Celui de l’orgue on fait résonner -Et bienheureux il rend le jardinier. - -En musique c’est une note qui fait honte. -Il désigne une nuance de bleu. -Quand il sucre le café, il fait des heureux ; -C’est en V qu’il vole pour migrer. - -À peine fini, il se perd dans le passé -Et ne peut être ajourné. -Demain, ce ne sera plus qu’hier, -Hier, c’était simplement demain. - -Du début au bout de l’an, -On le garnit de l’histoire de notre vie, -Affaires, amours, jours et nuits, -Tout s’y inscrit précisément. - -Elle révèle tout de vous, -Que vous soyez génial ou fou. -Parfois anglaise ou bien gothique, -Celle des Étrusques reste hermétique. - -Souvent créées par des religieux, -Elles peuvent être scientifiques, -Officielles ou diplomatiques. -Elles paraissent impossibles sur un magnétophone. - -Vieux zinc tout bricolé -Ou oiseau de grande ponctualité, -C’est aussi une façon de se héler. - -Il fait sauter les courageux, -Et tomber les chaussettes quand il est lâche. -Arme des potaches, -Des petites filles, il tient les cheveux. - -C’est un étalon qui ne galope pas, -Un âge bienheureux et plein d’éclat, -Et s’il se laisse facilement aplatir, -On ne prend pas ses feuilles pour écrire. - -Je suis le quotidien compagnon du menuisier, -Mais je préfère la menthe comme compagne de mes soirées. - -D'avril c'est une farce, -De mer ou d'eau douce, -Il est excellent pour la santé, -Il est parfois volant. - -Intime on lui confie nos secrets, -Interne pour les collaborateurs de l'entreprise, -On le lit, on l'écoute -Ou le suit chaque jour . - -Elle est d'amour, -C'est une tomate, -Ou une friandise, -On y tombe parfois suite à une émotion forte, -Qualifie souvent un être niais ou crédule. - -Déposition officielle effectuée à la barre, -Il est parfois d'amitié. - -Elle chagrine le matin, -Mais le soir redonne espoir. - -Qu'elle soit de famille ou d'idée, il ne faut jamais la provoquer -Car si chacun peut la chercher, -Nul ne sait comment l'arrêter. - -En berceau ou surbaissée, -celle du ciel n'est pas celle du palais. - -Il est ironique quand il est jaune, -Tranquille quand on y habite. -Il nous arrive même d'en boucher un. - -Menacé, son instinct nous pousse, -On veille à celle des documents ; -Elle a ses méthodes et ses moyens. - -Fruit il nous ravi, -Amoureuse elle peut être violente, Selon Mathieu elle nous ferait aimer Bach. - -A minuit on la célèbre, -Basse! elle ne fait rien pour qu'on l'entende. - -On en use pour persuader, -En accorder, c'est faire confiance. - -Elles font le tour des continents. -On les gravit difficilement, Mais se les tenir, c'est quand même beaucoup rire. - -Qu'ils soient noirs, gris ou bien blancs, -Il n'y en a pas deux semblables, -Et restent pour nous impalpables. - -Dans la cuisine je suis utile, -Dans la nature, redouté. -Mon épaule le porte, -Mais si je change de coté... d'avis également j'aurais changé. - -Il est bon quand il est tôt. -Quand il est tôt, il est petit. -Mais aussi il peut être beau. -Et quand il est tard, il est fini. - -L' émotion parfois nous le fait ressentir, -Le froid parfois de lui nous en fait parcourir. -Seul l'amour nous fait vivre le grand. - -Quand on y est , on ne sait ou on est. - -Je suis à la fois maternelle et paternelle, -Quand je suis nerveuse, je n'en suis pas excitée pour autant, -Au chemin de la selle, parfois je contribue. - -D'air, je sais isoler, -Pneumatique cela n'est pas pour autant que je roule, -Quand le sommeil gagne, je suis le bien venu. - -Quand je suis longue je suis favori, -D'éléphant me fait une belle jambe, -A quatre, je n'en suis pas plus rapide. - -Unique, je domine! -A ma façon est le reflet de mon opinion... -Mais c'est fleurie que j'exprime toute ma grâce ! - -Au féminin l'écrivain me redoute. -Peu coloré je peux apporter l'ivresse... - -Il m'arrive d'être glissant. -Mais de sport je retrouve mon adhérence. -Accidenté je deviens un tout ! - -En étant sur ses gardes, on y veille. - -En l'air, je suis légère. -Quand je promets on me trouve belle. -Face au silence, je suis d'argent. - -Sachant voler, je n'en suis pas moins bon nageur, -Sur l'échiquier je ne manque pas de raison. - -Je peux être humide ou pas, -Les hommes prennent plaisir à me regarder, -Les gaulois se méfient de moi. - -Plus étroit chez les célibataires que chez les mariées, -Lieu de punition pour certains, -Mort, sur moi tu reposes. - -J'absorbe à fort exposant, -J'existe aussi pour le corps, -On me trouve dans les pièces d’eau. - -Je n'existe pas et pourtant on me nomme, -De l' heure dépends mon influence, -J'aime à imiter vos pas au gré du soleil. - -D' air, je peux partir sans prévenir. -De joie, j'offre aux hommes un plaisir intense mais éphémère..! -De ferme, je suis vouée à servir ses mêmes hommes. - -Anglaise, je change tous les jours. -A m'ouvrir, parfois on se cultive. - -Sombre, j'éclairci ! -Doublé, je ne manque pas de tranchant ! -A trop me porter aux lèvres, survient l'enivrement ! - -Je suis parfois lourde à porter, -De lorraine j ai double traverse, -Un chemin je suis pour le croyant. \ No newline at end of file diff --git a/res/fourasAnswers.txt.bak b/res/fourasAnswers.txt.bak deleted file mode 100644 index caaaa92..0000000 --- a/res/fourasAnswers.txt.bak +++ /dev/null @@ -1,112 +0,0 @@ -pigeon -blé -brise -page -tablier -site -grenade -cascade -élan -bélier -fromage -mouche -nez -matin -boulet -silence -fumée -lune -feu -début -point -bouton -apparence -date -chien -miel -miroir -exemple -jardin -marteau -banane -âme -mots -règle -rats -ange -chemin -chapeau -lanterne -témoin -cochon -hiver -crayon -bataille -soufflet -âne -baguette -froid -grenade -faim -Polichinelle -hache -laine -balle -politesse -brouillard -baiser -Christophe Colomb -zéro -velours -désert -corbeau -passé -orient -signature -cheminée -col -tuyaux -canard -Aujourd'hui -agenda -écriture -missions -Coucou -élastique -or -thé -poisson -journal -pomme -témoignage -araignée -querelle -voute -coin -conservation -passion -messe -crédit -côtes -nuages -fusil -jour -frisson -noir -fibre -matelas -patte -pensée -Blanc -terrain -grain -parole -fou -ciel -lit -éponge -ombre -fille -livre -coupe -croix \ No newline at end of file