Pour les enfants, le noir En est souvent source le soir. Mais qu'elle soit bleue ou belle, Elle peut donner des ailes. D'avril c'est une farce. De mer ou d'eau douce, Il est excellent pour la santé. Il est parfois volant. Ses ailes Ne lui servent pas à voler. Bien qu'âgé très souvent, Il reste pourtant dans le vent. On l'éclaire en fournissant des explications Vénitienne pour des illuminations. Elle est parfois magique. C'est un habitant d'une loitaine contrée, Un oiseau Sa chair au goût particulier, Est pleine de vitamine C. Quand il est grand il faut faire vite. Son emploi est utile à l'élève, Et on apprécie beaucoup celui des cerises. Petit four quand on le mange, Convertible quand on le range, On aime bien s'y enfoncer. Et du premier, se régaler. Intime on lui confie nos secrets. Interne, pour les collaborateurs de l'entreprise. On le lit, l'écoute ou le suit chaque jour. Ce véhicule ne se trouve pas à côté du premier, Mais il ne faut pas le rater, car c'est le dernier. C'est aussi une valeur égale à une année, Et des moutons, grâce à lui, sont écartés. En parler c'est dire des banalités. Puissant, influent, on "la fait avec le beau temps". Elle est parfois battante. C'est un entassement d'objets, Une partie de pièce de monnaie. Elle fournit de l'énergie, L'heure précise, elle qualifie. C'est une importante quantité d'éléments, Nombreux et sérrées. De gens ou de choses entassé, Que définit le mot : nuée Il fait de la restauration. On y trouve un conservateur. On apprécie sa collection. Son gardien veille à toute heure. Deposition officielle effectué à la barre, Dans le cadre d'un procès. Il est parfois d'amitié. Il faut bien rentrer dedans, Nous répète-t-on souvent. C'est un chef au restaurant. A l'école s'y met l'enfant. Boîteux, de Barbarie. Enchaîné le mercredi. C'est aussi une tasse à bec, Pour boire faire boire les malades. Petit, il est terme d'affection. Mauvais, il change le goût du vin. Parfois poussé trop loin. Les animaux aiment sa friction. Y être c'est être dans le besoin. Sans elle, pas de plaisir. Etre sans, c'est ne pas se préoccuper des autres Elle peut descendre ou bien s'élever Et au fil des ans elle peut changer Pour elle, des cordes sont utilisées Et la peur peut nous en priver. Chanson dans laquelle les voix se répètent, Les unes derrière les autres. Pièce d'artillerie militaire, C'est aussi une arme à feu. C'est une grande experte en tours. Elle est parfois d'un grand secours. C'est aussi une acrobatie. A la fortune, on l'associe. D'Asie ou d'Afrique, Ses défenses sont hélas très convoitées. On aimerait avoir sa mémoire. Un aigle il représentait Pour les romains Cet emblème symbolique, Signale aujourd'hui une boutique. Cette "tricherie" est tolérée, Au départ d'une course cycliste. Canne, elle est en toile et repliable. A votre seuil elle est souvent, Son coup fatigue promptement, Son code est assez répandu, Nombreux y sont venus. Ne pas en être une n'est pas un signe d'intelligence. Elle a sa vitesse et sa nature. On a parfois besoin des vôtres. Cette pierre tendre de feuilletée, En Bretagne, est très employée. les écoliers l'ont tous levée. Et parfois, elle est très salée. D'entrain il est amusant. On le voit parfois jamais. De gras, il est souvent partagé. Chorégraphie des pluts petits, Souvent effectuée de nuit, Sur son chemin le garde va, Sur les portées on l'aperçoit. Plusieurs tours sont parfois indispensables, Pour connaître son résultat. Ses modes sont variables, Mais elle concerne souvent l'Etat. Les habits des mannequins, Elle coud, surfile et pique. Elle permet aux comédiens, De répéter leurs répliques. Sa robe sied au casanier, Et l'air lui permet de rouler. Sa musique a peu d'instruments, Forte, elle garde votre argent. C'est un corps en mouvement, Qui égaille les chambres d'enfant. On s'efforcera de le découvrir, Car l'auteur du crime il permet de saisir. Il n'est pas offert mais donné. Il a tendance à commander. Celui du jour est à traiter. Public il est parfois troublé. On peut en trouver des carrés. On peut la prendre sans bouger. C'est par elle qu'on attaque le mal. Elle est souvent végétale Sur une planche, il fait bûcher. Sa bouchée n'est pas très cotée. D'une bouche il peut être ôté. S'il est perdu, il est mangé. Ses activités sous-marines, L'amènent à croiser des requins. S'il se cantonne à la cuisine, Il lave la vaisselle de ses mains. On peut y mettre ses papiers, Son argent ou bien ses clés. C'est aussi une façon de se coiffer, Ou bien encore un fruit à déguster. "D'adresses", il n'a jamais manqué. Il peut faire preuve de santé. De ses notes, on ne peut pas jouer. "De bord", il aide à naviguer. Il prend des coups sans arrêt mais sans peine. Ovale, ses réactions sont incertaines. Au gré des vents, il vogue en l'air. Au sommet d'un pied, c'est aussi un verre Dans l'urgence vous le pressez. A la grève il est associé D'une symphonie c'est un morceau. Il nous fait mal lorsqu'il est faux. Trajectoire parfois calculée. Elle sert notamment pour les fusées. Cette cavité est par l'oeil aussi habituée On l'extrait des sols miniers, Et elle se vend sur les marchés. Elle peut parfois faire marcher; Celui qui refuse d'avancer. Le chat aime bien courrir après. De laine, elle peut être formée. Dans le Sud-Ouest on aime y jouer. Sans pour autant la dérouler. Héros d'Andersen dans un célèbre conte, En musique c'es t une note qui fait honte. Il désigne une nuance de bleu. Quand il sucre le café il fait des heureux. Dans sa salle on perd ses pas. Sur ses panneaux on cherche sa voie. On peut y avoir de nombreuses rames. Et c'est aussi un cri d'alarme. Cadeau qu'on fait à un félin. Qui dans la poche parfois n'est point. Souvent tirée par les petits La mauvaise vous calomnie. On peut la perdre ou la voiler. La sauver ou encore la cacher. D'une médaille c'est un coté. Il y en a six sur un dé. Aussitôt rendue et prononcée, Elle doit être appliquée ; Et si l'on se retrouve incarcéré, C'est par cette decision des jurés. Choses et gens, par lui sont séparés... De langage, c'est une grossièreté. Aux danseuses, le grand est réservé, Et s'y tenir, c'est être éloigné. Par nature, il n'est pas solitaire. Il est sanguin, mais pas sanguinaire. Il réunit chanteurs de rap ou militaires. Il est parfois très agité. Au plomb on peut le comparer. Réparateur très apprécié. Il vous fera toujours rêver. Elles font zigzaguer les champions Et permettent la communication. Dérobées sans jamais être isolées On peut les fermer à votre nez. Connue pour ses galeries, et le ton de son gris. Elle évoque la mauvaise vision. C'est aussi un espion. Elle peut être de fond ou de coton. Piège mortel pour les moucherons. Quand elle est exceptionnelle, Elle peut devenir oeuvre immortelle. Ce légume cultivé, n'est dans le sang pas apprécié. Si l'auteur de le recherche point, Il peut, près du canard, se trouver cuit à point. Entêté par tradition, Son bonnet est humiliation. Il est aussi grison, Pour avoir du son. On le déguise à l'occasion. Cultivé mais pas érudit. Plutôt acide est sa passion Lorsqu'il est mûr, on l'apprécie. Le fou peut être à ses côtés. Son enfant est souvent gâté. Lorsqu'il est bleu, il est très vif. Sur l'échiquier, c'est l'objectif. Dotée de ses deux "L" C'est presque une ritournelle. Sitôt qu'on en ôte un On marche plein d'entrain. On le dit parfois populaire. Par les premiers, il est ouvert. On y croise les débutants. Il est masqué de temps en temps. Pour la chambre, i lest tout petit. Souvent dans la fosse, il est mis. Son fauteuil est placé devant. Ses bois résonnent avec le vent. Elle a pour habitude de dire la vérité. D'amour ou d'affection elle peut témoigner. Il faut en faire plusieurs pour être reconnu. Au Neuf, en maths, mathématiquement, elle est tenue. Contre elle on a une dent. On a peur quand on l'entend. Elle nous fait jouer pourtant, Et permet le déplacement. Elle est plus facile à tourner, Lorsqu'on l'a allongée. Blanche ou bien chocolatée, Elle peut s'associer au laurier Il peut-être aussi bien lourd que léger. Quand il est utilisé pour construire. Si en défense il peut être joué, C'est aussi un argument difficile à détruire. On ne voit rien dans ses carreaux. Le dîner repose sur elle. Parfois potable quand elle est d'eau, Elle fait aussi dans la dentelle. Célèbre pour sa rapidité, Il peut marquer notre lucidité. C'est une lueur qui peut être dangeureuse, Bien que certains lui préfèrent la religieuse. Courte, elle permet de s'élever. Pour lire une carte il vous la faut. Dessous certains ne veulent passer. Dessus on grimpe pour aller haut. Automobile québécoise ; Blindé ou d'assaut dans l'armée On le préfère fleuri au carnaval. Si de sable, il est. Ou de maison est composé. On peut aussi bien le manger. Et c'est une tâche sur le papier. Cette petite bête qui se multiplie, Aime bien sortir la nuit. Tout d'un coup et sans avis, Il incite à la mélancolie. La croquer sous la dent, est un réel délice. Mais au même endroit pourtant, Elle peut être un vrai supplice. Morte ou vivante, On la tient toujours pour garder un secret Et elle est bien pendue chez le bavard. C'est une image à reconstituer Qu'on a éparpillée. Que de patience exigée Pour enfin le recomposer. Il est gros pour les tout petits, Et d'amour il faut languir les grands. De larmes il est souvent suivi, Sa peau rétrécit tout le temps. C'est un plat consistant. Elle s'oppose au courant. Sans véhicule est ce conducteur. Elle produit de la chaleur. Cette graine consommée, Est pleine de qualités. Elle fait le bonheur des myopes, Sans elle, pas de télescope. Elles font autorité Dans toutes les sociétés. Leurs gens et leurs docteurs Font respecter celles en vigueur. C'est pour, du four, sortir les pains dorés Que le boulanger la porte. C'est avec elle, en grand quantité, Qu'on ramasse les feuilles mortes. Très sensible près de la peau, Mais ne manquant jamais de pot. En faire une est une faveur, Fine, elle désigne les meilleurs. Morceau de pain très bon marché, C'est une faible quantité. On peut la servir à la reine, Pour n'en faire qu'une, point de peine. Parfois blanche, ou bleue, souvent noire, On est discret lorsqu'on y rit. Elle s'apparente souvent à l'ennui, Pas sûr qu'elle aime les rasoirs. Oiseau des champs Au cri strident, Il est auteur anonyme Et pousse-au-crime. Elle chagrine le matin, mais le soir Elle redonne l'espoir. Fileuse infatigable, Elle tisse des fils impalpables. Il n'est pas méridional, Mais on le dit cardinal. Et celui qui le perd, c'est fâcheux. A un comportement curieux. Faite de trous et de bosses, C'est une curieuse boîte en os. Fractures migraines ou céphalées, Lui causent bien des difficultés. Eternelles au pluriel, Ephémères au singulier, On aime la voir à Noël Mais pas plus tard qu'en février. Miroir, tant son dos est brillant. Elle vit tout au fond des étangs. Comme elle, nous faisons bien des sauts, Comme elle, on ne dit pas un mot. Il témoigne du passé Et se remplit au fil des années. Parfois illustré, On y classe des objets oblitérés. Souvent inhabité, Il est inutile d'y parler. Mais hélas, sans le désirer, On doit parfois le traverser. Elle nous tire les larmes des yeux Sans que nous n'éprouvions de chagrin. Elle suit lentement son chemin qui Toujours la mène vers les cieux. Chez Maxim's il nous accueille. A pied ou alpin c'est un corps d'infanterie. D'images c'est un photographe. Petit grain de beauté Au coin de la bouche. Cet insecte peut parfois Nous plonger dans un profond sommeil. Sans être fou, il a un grain. Après le gril il va au moulin. Il fait parfois bien du chemin Pour être blanchi le matin. Au jeu ils sont lancés. Petits cubes de légumes en entrée, Lorsqu'ils sont jetés, c'est décidé. Qu'elle soit de famille ou d'idées Il ne faut jamais la provoquer, Car si chacun peut la chercher Nul ne sait comment l'arrêter. Ce col n'est pas sur un vêtement. Du carnaval, c'est un beau moment, L'alpiniste doit le passer. Et le mannequin doit l'animer. Ordre est de le garder, Quel que soit le danger. Consigne est de l'occuper, Quelle que soit la difficulté. En hauteur, c'est une dépression Et un passage que nous empruntons. Pratique même s'il est faux, Blanc, il se trouve dans un bureau. Elle est moyen de locomotion Et son sens montre la direction. Elle aide à descendre ou bien à monter Ou bien rassemble pour la paix. De la crainte et du doute, Elle est à l'opposé, Et si vous la donnez, Alors donnez la toute. Il figure sur des cartes à jouer. Petit ou grand dans les cahiers, Sur les murs et sur le sol il est utilisé. Et il y en a un derrière lequel on peut regarder. Toujours près du zénith, On le sonne à son arrivée. Parfois le sud, il nous indique Deux aiguilles au ciel, il fait pointer. Place des acteurs, Célèbre on en occupe le devant. En faire une c'est s'emporter. Son nom vient d'une île au milieu de la mer Mais, pour nous, c'est surtout une pierre. Aux couleurs du soleil le plus souvent, On la trouve sur plusieurs continents. D'eau c'est un réservoir. On y rêve en Espagne. De cartes il est très fragile. Son offre est rémunérée. Du temps il est scolaire. Les jeunes recherchent Parfois trop longtemps le premier. Cette donnée, Que l'on voit changer Tout au long de l'année, Peut cependant être fixée. Sans lui, pas de culture. Sa clé n'ouvre aucune serrure. Le gymnaste peut y exceller, Chacun peut le piétiner. Il peut souffrir d'ivresse sans boire, Car c'est en hauteur qu'on peut le voir. Pics et pitons il ne craint pas Et, en cordée, il avance pas à pas. Il est bon quand il est tôt, Quand il est tôt il est petit. Mais aussi il peut être beau, Quand il est tard, il est fini. Parfois nouvelle, parfois pleine, Sa couleur n'est pas celle de l'ébène. Des rêveurs elle est la retraite favorite, C'est le pays des Sélénites. Elles tournant, rapides ou lentes, Et règlent, dit-on, notre sort. Mystérieuses mais toujours présentes Depuis la naissance jusqu'à la mort. On peut le donner à quelqu'un. De paix on y trouve le calme, A l'étranger c'est un refuge A piquer, elle s'entête, Jusqu'à être gavée. Certaines cartes en sont dotées, A l'oreille on la met. D'ange ils sont appréciés dans les potages. Lorsqu'on a trop fait la fête, Ils sont douloureux. Et en cas de soucis, ils deviennent blancs. Sa forme antique nous rappelle Celle du corps féminin. Au fonds des mers nous cherchons celle Qui contenait le grain, l'huile ou le vin. C'est un coup de pinceau Qui donne le ton et la couleur. Attendue patiemment par le pêcheur, En escrime par elle on gagne l'assaut. Sa bague est sans valeur, Pourtant elle a ses collectionneurs. Il est très prisé des amateurs Qui savourent ses senteurs. Elle porte manteau et tablier, Et se cache sous son rideau pour ronfler. Une fois par an, elle est visitée, Par un barbu au dos bien chargé. Si le vent le pousse et l'excite, Tout ce qu'il voit il le dévore. Son appétit est sans limite, Mais s'il boit trop, c'est la mort. On me trouve au début de toute portée, Avec moi, dans les champs, L'évasion est garantie. Je suis indispensable pour réparer. C'est une double fréquence, Le nom d'Auguste dans son enfance, Une position du fleuret académique, Une semaine liturgique. Du bout des lèvres A son ami il donne la voix, Et, avec discrétion, Alimente la conversation. S'il se montre en paillettes Ce n'est pas pour faire la fête On l'apprécie pour nettoyer On le passe pour enguirlander Posée c'est une question, Parfois a base de poisson On l'utilise en dissolution Et c'est aussi une punition Il lui arrive d'être à terre, Dans le plat on le met par paire, A la lettre parfois collé Il est moqueur devant le nez A peine fini, Il se perd dans le passé d'où nul ne revient. Demain ce ne sera plus qu'hier ; Hier c'était simplement demain. Des monts c'est la ligne dentelée Et d'un mur c'est le sommet. Sur la tête des gallinacés, Elle est souvent dressée On le bat pour rassembler ; A l'ordre c'est une réprimande, Touche c'est un retour en arrière. C'est parfois le bout du fouet ; Elle fait parfois des trous d'un seul jet ; Parfois elle est décolorée Et même nettoyer la plaie Vêtues ou dénudées, Si certaines sont vénérées D'autres encore ont fait entrer Bien des hommes dans la postérité. Substance incolore utilisée Comme agent de conservation ; De bain il parfume, Marin il est issu de l'eau de mer. En douze il est coupé Sur la voute étoilée. Dans ses signes certains vont y lire Passé, présent ou avenir Compagnon du premier jour ; Chaque jour il nous reçoit ; Un moine autrefois Y faisait plus d'un tour. Ses marteaux et leurs coups, N'enfoncent aucun clou. Doté d'une queue, il n'est pas animal. Sans avancer, on appuie sur ses pédales. Marin infortuné, Par son fils vainement recherché, Aux monstres il a échappé Pour retrouver sa liberté . D'amour c'est une tomate ou une friandise ; On y tombe parfois suite à une forte émotion ; Qualifie souvent un être niais ou crédule. Le Président sur la tête peut le porter ; Le maçon sur le mur peut le projeter, Le canonier contre l'ennemi l'utiliser . On la trouve dans la pensée Du philosophe et du poète, Dans le ravin c'est un danger ; Parfois dans la mer elle inquiète. Elle figure une somme d'argent Confortable une siège elle rend. Chaque année elle nous couronne, Pourvu qu'elle soit moelleuse et bonne. Bien que parfois dithyrambique, Elle n'est pas toujours sympathique. Elle est difficilement supportable, Lorsqu'elle se montre redoutable. Par son mouvement de va-et-vient, A créer un courant il parvient. Il change une chaleur détestable, En un moment bien agréable. Il peut-être fait de soi Ou encore de chocolat, Ce parfait quadrilatère Et une belle main au poker. Pas très aimé des citadins, Enfants et vieux aiment l'attirer. Il peuple pourtant toits et jardins, Et des escrocs il est le jouet. Jamais éloigné, son ossature de bois léger Plane au dessus de nous, tel un épervier. Il s'élève dans le ciel comme le noir corbeau Et pourtant il n'est pas un oiseau. Dans cet ensemble d'idées On est parfois égaré, Ces fleurs à l'aspect velouté Dans des jardins sont plantées. C'est une partie intégrante d'un pont. Le rendre, c'est en avoir ras le bol. Et bien qu'il désert nos écoles, Contre les taches, c'est une protection. Etonné, on y reste. C'est un succulent gâteau rond imbibé de rhum, Garni de raisins de Corinthe. Parfois loin de la réalité Une image elle peut accompagnée. La réponse ici trouvé, Vous permettra peut-être d'y entrer. Il faut compter celle de la journée. Celle du succès est recherchée. On peut la suivre, attentionnée, Pour la réussir et se régaler. Les pierres ont le leur. S'y asseoir demande beaucoup de souplesse. Il travaille pour vous messieurs sur mesure. A ce jeu on peut gagner un lot, C'est une épreuve pour les chevaux. Cet examen établit un classement Entre tous les participants. On peut la visiter Ou bien la savourer. Mais ce projectile léger Peut-être un véritable danger. Enigme ou mystère, Pour lutter contre elle ici Vous rassemblez vos lumières Instrument qui ne joue pas de musique Son aiguille personne ne pique. On se trouve tout affolé Si par nous, elle est égarée Arborant un collier quelquefois. Lorsqu'on la croise elle nous fait peur. On croit bien n'importe quoi Lorsqu'on l'avale, elle et ses sœurs. C'est un superbe chapeau. Il permet de voyager en bateau à travers les Amériques Pour les yeux c'est un joli colorie. Ce café est légèrement adouci. On peut consommer ce fruit, Ou ce morceau de beurre tout petit. Pour tous ceux qui ont de l'audace On la prétend souriante. Pour elle, des hommes deviennent rapaces, Car elle est si tentante. Elles avancent au gré du vent Recouvrant tout, même nos pas. Montages mouvantes, Et pourtant tombeau de l'imprudent qui s'y perdra. C'est un espace bien silencieux. On peut le regarder dans les yeux. C'est une manière de chauffer. Une couleur parfois cassée. Il peut être simple ou bien grand, Il est plénitude ou amour. C'est lui qu'on recherche toujours Et que l'on trouve heureusement. Elle peut tuer son compagnon En toute impunité et sans avoir Même malgré son nom, a se confesser. Rarement le chien s'en sépare, Et bien souvent, la femme s'en pare. Son coup demande des efforts, Et c'est parfois une chaîne en or. C'est une apparence trompeuse, Une mauvaise interprétation, Une erreur de la perception Qui peut s'avérer fâcheuse. Sur une table on peut y jouer. Sur un terrain le pratiquer. Devant un mur s'y entraîner, Dans des chaussures fortes appréciées. Son coup est toujours surprenant. Ses pièces ne sont pas d'argent. Il est réputé pour ses scènes, Antique c'était une moitié d'arènes. C'est de la terre qu'il est né. Son eau par un crapaud est altérée. Pour une femme il est précieux, C'est parce qu'on ne peut éteindre ses feux. A l'origine de tout être vivant, Celles du fort vous réservent Bien des tournants. Elle peut être un mari. Il s'agit d'une partie. Pour pouvoir la trouver, Il vous faut diviser. Ce n'est pas une ouvrière Que l'on trouve dans la fourmilière. Quand elle est petite, avec elle on pédale, Et avec Claude c'est un vrai régal. Il est toujours courbé. Devant on doit souffler. Ce fil de fer replié Nous sert pour attacher. Il résulte de la gravitation. Sur le cœur il fait pression. Son lancé est digne du champion, Quand il est lourd c'est un camion. Ce tableau n'est pas vraiment apprécier Pour vous nourrir vous la casser En travaillant vous la gagner Sortant du four elle est dorée Jamais en retard il est souvent presser En rondelle il peut être découpé Par lui une couleur est qualifiée Avec le poisson il peut se mariner Si vous souhaitez la conserver Des excès il faut vous écarter Elle marque le départ et l'arrivée Il y a en a cinq sur une portée Elle possède sa propre maison Et intéresse peut les garçons Cible parfois d'aiguilles Elle plait surtout aux filles Appréciée des gourmands, elle est cerise ; Porteuse d'échantillons, elle est valise. Elle vit en colonies Et passe l'hiver en léthargie. Minuscule et léger, Il est de toutes les fêtes. Et si pour rire on vous en jette, Ne craignez rien, c'est sans danger C'est une eau tombant en quantité, Sur un fleuve éclaboussé. Elle provoque du cristallin l'opacité Et rapproche à terme de la cécité. De justice Il abrite des hommes de loi ; L'avoir fin c'est être un gourmet ; Il est de glaces à Versailles. Elles sont parfois décollées ; Les murs en sont parfois dotés, Attention à ne pas vous les faire tirer En cas de rappel à l'ordre. Ce militaire se marie au cinéma Pour notre plus grand plaisir ; On qualifie ainsi une personne autoritaire, Associé aux voleurs c'est un jeu. Qu'il soit haut, plat ou usé Ils sont utiles pour marcher Au carnet ils restent fixés Les tournés c'est s'en aller Une table il peut exiger De gazon il peut se contenter Son filet ne sert pas à pêcher Ses tournois sont très prisés De France, il nous captive De main, il est magique. Si mesure c'est celui du cou, Celui du monde vaut le coup. On la casse pour apaiser la faim ; Sur la peau suite à une blessure, elle tombera ; On essaie de bien la gagner Elle peut être bien chargée Tout en étant obstiné On peut l'enfiler au pied Et la porter en été Lorsqu'il quitte sa carrière Généralement il est poli De veines il est souvent couvert Et bien des sculpteurs l'apprécient Lieu austère où pour offrir des prières, Des hommes deviennent parfois solitaires En abandonnant les biens de cette terre. On y entre par la cour Pour mieux en sortir par le jardin. Elle est fréquentée par les baladins Qui parlent souvent d'amour D'une grande dureté est le bois de son cœur Son nom témoigne de sa couleur Taillé, sculpté elle est exotique Elle fait l'objet d'un certain trafic Elle plonge dans un bruit Sur les rongeurs imprudents C'est aussi un conduit Fait de fonte ou de ciment Basse ou haute, Elle a son lit qui ne concerne que des punis, Les condamnés en son palais, En sont toujours pour leurs frais. De par son nom toujours triste, Même s'il ne connait point les larmes Modèles des peintres artistes, Ou des poètes dont il inspire l'âme. Synonyme d'habileté Un jongleur sait la gérer On la trouve dans un carnet Ou l'on part sans la laisser C'est un golf ou l'on peut se baigner C'est une cloison vitrée Petit fruit elle est savoureuse Mais elle peut se montrer dangereuse Rapidement il se déplace Et peut parfois laisser des traces Souvent précéder par ses chiens Il possède des patins Près de l'écritoire, Elle peut être bleue ou noire. Indispensable à l'art calligraphique, On ne la voit pas si elle est sympathique. Sa peau a certaines propriétés Sa chasse est réglementée C'est une médaille qu'il faut mériter Il vient de la famille des bovidés C'était une place publique Dans le monde antique A Rome ses ruines sont admirées Aujourd'hui ont peut y échanger Dans le désert, elle peut être trésor, Ultime espoir du naufragé, Elle peut être sabrée pour le retour Des Robinson Crusoé De vélo elle saute parfois ; Son travail n'est pas passionnant ; On la porte en or Ou en argent autour du cou. Elle désigne une aptitude Physique ou mentale C'est un haut lieu pour les études Juridique ou médicale Elle fait marcher à la baguette Elle connait la dextérité Vieille et laide ou jeune et jolie Elle resplendie dans son logis Virile, vive ou furtive Discrète ou administrative, A terre souvent elle fait Que le marin se reconnaît. Volcanique, Elle est violente ; Cutanée elle nous couvre de boutons ; Dentaire, elle fait souffrir Chez le notaire c'est un original De l'heure c'est une division En mesurant votre inattention Elle vous serez ici fatale A l'abstention il peut pousser, Il lui arrive de planer. Son ombre nous fait hésiter. Pour le sceptique il est semé. Il conjure le mauvais sort, Même s'il est mort. De rose, il est exotique. Au pluriel, ils jouent de la musique. Le ver était signe d'opposition Pour les centurions Il fut pourtant protection Pour mater des rébellions Une teinte de rouge elle peut définir Des aliments liquides elle peut contenir Elle peut être réfractaire Tout en étant faite de terre Dans son œil il ne voit rien Après lui il ne reste rien Cette bourrasque en tourbillon Reste une histoire de pression Par son mouvement de va-et-vient, A créer un courant il parvient. Il change une chaleur détestable En un moment bien agréable Pour ne pas se faire remarquer, Il passe du gris clair au vert foncé. Pour préserver son intérêt, Il porte une veste facile à retourner. De pierre il est souvent constituer De feuilles il peut être composé De note on aime le remplir Le chirurgien il va accueillir Délicieuse est celle de l'agneau On y porte un fardeau On la change pour le fusil Lorsqu'on a changé d'avis Il est toujours à l'Est Et ne passera jamais à l'Ouest. Il assiste à un lever Mais jamais à un coucher. Canard vraiment élégant, Décideur très influent, Merveilleux à l'opéra, Pratiqué par bien des chinois Ce danseur souvent apprécié Peut être léger comme un joker Pour clouer il est utilisé Souvent il est bien mal élever Elle est bonne ou mauvaise au figuré C'est un bon tour de magicien Avec elle le mot devient secret Elle peut être belle sur le terrain Génétiques elles identifient avec certitude ; Digitales elles figuraient sur les cartes d'identité ; On prend souvent celles de nos cartes de crédit Telle une colonne élevée, La gloire peut vous y hisser. Telle une colonne brisée, Vous pourrez en chuter. Faites de lignes courbes et de contours, Du fleuve ils sont tous les détours Sinuosité de la pensée, Ils rendent l'homme plus compliqué Dans le Jura c'est un cépage, On le composait pour le mariage, En colonie il faut l'apporter Et il ne quitte jamais le geôlier. Blanche ou noire, ce n'est pas pareil, De ses charmes on se méfie Si l'on croit en ses merveilles, En ses baguettes et gris-gris Sous les pieds ou la main, Elle est double pour l'académicien En abondance dans les prés De loin vous l'entendez Bien utile pour les fusées Il possède une rampe sans être un escalier, Son action s'applique à la publicité Ou encore a un produit de beauté Lieu de dressage Ou amusement des enfants sages, On y retrouve des chevaux Qu'ils soient vrais ou faux Son vin est né de ferments, Et c'est aussi un ornement, En or c'est un grand honneur Par deux elle sert au nageur Quand on a soif elle est bien utile, Les couturières y enroulent un fil Cet oiseau n'est pas bien gros Mais peut finir dans nos fourneaux. A Boyard, il serait en cage Malgré sa force et son courage. Sans jamais ici faiblir, Sa part vous pouvez conquérir. Comme le coton il est léger, Et de glaces il est constitué, Cette céréale déshydratée Est idéale au petit déjeuner On compte sur elle pour le transport C'est une bête qu'il faut ménager, Elle peut être en or Sans elle, des verres ont ne pourrait porter. Elle vient de Lisbonne ou de Roscoff. C'est une grande voyageuse Aussi bien qu'un galon pour le sous-off, Mais à Marseille elle est fameuse Elle révèle tout de vous, Que vous soyez génial ou fou. Parfois anglaise, ou bien gothique, Celle des Etrusques reste hermétique. Souvent associé au printemps, On peut aussi plonger dedans. Très utile en pâtisserie, Pour peindre on s'en sert aussi. Grâce à lui on peut se nourrir, Mais on peut aussi se fleurir. Public, à tous il est ouvert. Secret, il l'est pour ceux qui aiment se taire. Souvent causé par la distraction, Cette maladresse peut avoir des répercutions. Cette perche sert a manœuvrée, Un bateau ou a sortir un poisson de l'eau. Gage d'amitié, Sa valeur est sans importance. Coutume de civilité, Il n'est que convenance. Pour la police, ils sont un clé Lorsqu'ils se font tirer le portrait. Ils sont nombreux dans les cuisines Et ne lésinent pas dans les usines. Du fond de la Provence, Sous le mistral elle danse, De son cœur, née l'essence A une couleur elle a donnée naissance. On s'appuie très souvent dessus, Il a régulièrement des frais De votre chaise il est connu Il peut aussi être secret. Aérienne et légère Elle s'envole, éphémère. Expédiée du Vatican, Elle devient un commandement. Il peut s'agir d'un soupçon Car c'est une petite quantité On aime cette peau si parfumé Provenant de l'orange ou du citron Au balcon vous l'apercevez, L'étoile vient s'y reposer, Le gardien peut y résider Baignoire, elle n'est jamais mouillée Avec ou sans masque Le jeune est ambitieux, Mais la mer Le rendra vieux. Pinceau des peintres et doreurs Ce sobriquet est peut flatteur Il hiberne au fond d'un terrier Et le savon il fait mousser. Autrefois elle acheminée bien du courrier Elle est souvent synonyme de voyages Parfois au fond d'un grenier S'y entasse des souvenirs sans âge. Dans une formule consacrée, Par une cour est exigée. A quelqu'un peut être assenée Si par quatre est multipliée. Si on la perd On ne sait plus rien, Si on la retrouve, On redevient quelqu'un. Pour unir et pour assembler, Son pas doit être enfoncé. Pour ce faire, il n'y a qu'une recette, Il suffit de lui tourner la tête. A l'issue de noir combat, On la scellé mainte fois. Elle vous remplie d'émois, Lorsqu'elle est passée au doigt. Son trait est dépourvu d'esprit Mais elle ne manque pas de force C'est un mariage, une fusion Que l'on célèbre avec des noces. C'est un prénom peut usité Elle est aussi une herbacé Il suffit de l'effeuillée Pour qu'un cœur tendre soit chaviré. Dans un pays chaud, elle est née. Par sa couleur est désignée. Suave et pleine de douceur, Elle apporte force et vigueur. Sa forme longue et plate Fais de bien jolis yeux. C'est une bonne patte, Et son lait et soyeux. Elles nous entourent, elles sont partout, Elles donnent de la vie à tout. Sans elles le monde serait sombre Et ressemblerait à une ombre. Semblant inaccessibles, elles sont là, Dominant les mers et les terres. On dit qu'elles ne se rencontrent pas, Et que d'une souris elles peuvent être la mère. C'est un artifice caché, Un bonhomme indélicat, Un galon pour l'officier, Un pain mince en tout cas. Au milieu ou de coté On s'applique à la tracer, Et si elle peut être bouclée Sa chaire est plutôt estimée. Elle enveloppe corps et bras, C'est une feuille de tabac, C'est une allure de voiliers, Longtemps elle fut liée à l'épée. Spectacle magnifique, On y rencontre un monde fantastique Peuplé d'êtres surnaturels Aux pouvoirs immatériels Il peut vivre dans les mers, Ou avoir une jument pour mère, Dans les compétitions automobiles, Cette voiture est parfois utile C'est un oiseau qui nage et n'est pas frileux Mais aussi un poisson plutôt onéreux Cruel ou héroïque, il a pu se montrer Et dans la Rome Antique, en maître il a reigné C'est une apparence qui peut tromper, Les femmes aiment s'en appliquer Parfois recouvrant les souliers, Les œuvres il sert a protéger On le fait souvent a regret Certaines femmes en font leur métier, A deux le sien ont peu le monter Pour mieux le mettre en scène après Il peut être chiche, sans se montrer radin, S'il est cassé, se n'est pas par manque de soins Dans une assiette il est parfois très fin, Sur un tissu c'est un gros point Il est hier ou éloigné, Et peut remonter à l'Antiquité Car, sans lui, demain Ne signifie rien. C'est un luminaire Il peut être oculaire Pour représenter la Terre Sa forme est une sphère Très couru dès qu'il fait chaud, L'alpiniste l'affronte et en vise le haut C'est une réserve naturelle, Mais qui ne restera pas éternelle Elles font le tour des continents. On les gravit difficilement. Mais se les tenir, C'est quand même beaucoup rire. Il habite aux antipodes Et, chez nous, on en voit bien peu. Quand il se défend, c'est commode, Il prend appui sur sa queue. C'est un gouffre au fond l'océan, Les plongeurs y font leur entrainement Un orchestre peut très bien s'y trouver. Et certains animaux y sont en captivité. Même accomplie dans la douleur, Elle symbolise la joie et le bonheur, Elle est début et jamais fin. De chaque être, elle commence le destin. D'une aile c'est l'extrémité En cuisine, Il est battant Son coup nous remet sur pied On lui fait constamment la peau, A vos semelles il est collé, Il est souvent rond au bureau En haut du crâne, il est perché Celle une cellule, N'est pas celle blindée C'est une opération, Qui aide à mieux reigner Parfois mauvaise et redouté Elle peut faire des blessés Qu'elle soit d'eau ou de reins Elle est aussi mot de la fin Il est souvent compris Il veut toujours aider Il est souvent gagnant Parfois vous le rendez Il est toujours au cœur des flammes Mais c'est loin d'elle qu'on le fond Encore nombreuses y sont les femmes Et les étudiants y abondent C'est un rassemblement Qui peut être électoral C'est une ile également, Volcanique et tropicale. D'une arme à feu, Il peut être une pièce. Et nos amis sont nombreux, Issus de son espèce. Douceur d'une ouvrière Obscure et sans grade, Friandise princière, Régal de plantigrade. Quand on joue Il faut la rattraper, Quand on la tire Il faut l'éviter. Il est enfermé dans une cage Mais il n'est pas sauvage, S'il peut rendre certains phobique Les paresseux le trouvent tellement pratique. C'est le synonyme de "gros", Par qui on jauge les bateaux. Mais si vous êtes dans l'auto, Moins vous en faites et mieux çà vaut. Qu'il soit décoré ou peint, Chaque noble a le sien. Il faut parfois le redorer Pour sortir de la pauvreté. Il est parfois critique Il peut être invoqué Fort utile à l'équipe Son trait peu amusé Chacun a le sien, dit-on Qu'il soit mauvais ou bon. Et si la nature vous en a fait don, Vous possédez un grand renom Bien mal gardé Est le secret de ce jouet. Mener sa vie N'est qu'une facétie. C'est une excroissance ligneuse Qui donne au bois sa rareté Elle peut être une pierre précieuse Ou bien permet d'y voir plus prêt Il est point de départ Sans mener nulle part, Terreur de l'écolier Surtout s'il est pointé. Pour notre dos, c'est un soulagement Mais il peut se monter brûlant Cette chemise n'est pas un vêtement Mais contient des documents C'est un fameux tailleur de pièces Bravoure ou fois peu témoigné On le redoute a son passage Et il surprend s'il est manqué C'est un petit air léger Qui nous ravit l'été. Sans "R", elle est glaciale, Car plutôt hivernale On la tourne pour avancer ; Mais quand on l'est, Cela signifie "être branché" Quand il est cloche, Il ne sonne pas. Quand il est melon, On ne le mange pas. Quand on y est, On ne sait où on est. Il n'est fait que d'eau, Mais peut devenir un impénétrable rideau. Vieux zinc tout bricolé Ou oiseau de grande ponctualité, C'est aussi une façon de se héler. Il est hier, simple ou composé Et peut remonter à l'Antiquité Car sans lui, Demain ne signifie rien. Chacun a la sienne que nul ne doit copier, Car l'imiter peut nous faire emprisonner. Fameuse et attestée, elle est collectionnée. Et pourtant, une simple croix peut la remplacer. S'il vous voit vieillir sans jamais rien vous dire, C'est parce qu'il est poli. Alors réfléchissez, Dites-moi de qui il s'agit. C'est une région française ; La ville à le sien ; commercial, On y fait ses achats et d'accueil, Il nous informe. Il aime à être montré et suivi, Et l'imiter est toujours bon. Il peut servir de leçon Et de mise en garde aussi. Un requin peut nous y faire penser, Un champion peut l'utiliser, Mais il n'est alors pas pareil A celui que l'on a dans l'oreille. Son droit est bien lucratif Et présente divers tarifs. Il voyage à travers le monde entier Et peut s'échanger sur les marchés. Du début au bout de l'an, On le garnit de l'histoire de notre vie, Affaires, amours, jours et nuits, Tout s'y inscrit précisément. Signe habituel de réconciliation, Pour Judas il fut signe de trahison. On le donne, on le prend, On le reçoit, on le rend. Ce Génois exilé ne vit Pas les Indes convoitées. Pour les yeux d'une Isabelle, Il découvrit des terres nouvelles. Malgré sa douceur, Sa patte n'est pas sans douleur. Jouer dessus Est assurance d'être vainqueur. Celui de la cathédrale de Chartres Est vraiment fameux. On n'en sort jamais sans mal Mais pour les enfants, c'est un jeu. Il fait sauter les courageux, Et tomber les chaussettes quand il est lâche. Arme des potaches, Des petites filles, il tient les cheveux. De politesse, elle est conforme à l'usage ; Au restaurent, elle est du jour ; Elle est magique ou algébrique. Il peut être rond, carré et bien moulé. Servi au marché, il est découpé. ça ne vaut pas le coup d'en faire un, Surtout pour de tout petits riens Elle communique les vibrations Qui font chanter le violon. On la cherche par amour, Mais on doit la rendre un jour. Grâce à lui, on peut se nourrir ; On peut se fleurir aussi. Public, à tous il est ouvert, secret, Il l'est pour ceux qui aiment se taire. Mûr à point, L'été il est fauché ; Fauché, on l'est de n'en point avoir Il est le point de départ Sans mener nul part. Terreur de l'écolier Surtout s'il est pointé. En noir ou en couleur, Point besoin de docteur car s'il a bonne mine, On peut suivre sa trace. Instrument du bourreau, Elle accompagnait le billot. Si ne la laisse point en terre, On se prépare à la guerre. Née d'un lapin ou d'un agneau, Elle tient toujours chaud. Qu'elle soit brute ou peignée, Elle peut venir des Pyrénées. Quand on joue, Il faut la rattraper. Quand on la tire, Il faut l'éviter. Souvent utilisée en laboratoire, Son trou est vraiment très petit ; Celle de l'ordinateur, Bien que rapide est manuelle. Si en amour ils sont appréciés, Les gros, eux, sont à éviter. Les auteurs en ont des fameux, Et certains servent pour des jeux. Autrefois, le maître en frappait le cancre, Qui la redoutait. Utilisée par le dessinateur, Elle doit être suivie par les joueurs. C'est un accessoire très utile Qui est petit et attachant. Et s'il ne tient que par un fil, Il se fixe aussi en pressant Même nouée, On peut encore l'épingler. Coup bien lancé, Qui peut être meurtrier. Bel et grand oiseau, Qui peuple les eaux, Ses ailes sont ornements, Puisqu'il ne peut voler aisément. Son coup n'est pas fatal, Mais souvent musical. Elle est cuite et moulée Pour être mieux dégustée. Elles font le tour des continents. On les gravit difficilement. Mais se les tenir, C'est quand même beaucoup rire. Encore fléau à notre époque, Par le loup souvent on l'évoque. On peut hélas en souffrir, Parfois au point d'en mourir. La mettre de son côté, Ne jamais la laisser tourner, Toujours en souhaiter, Peut permettre de gagner. En musique, c'est une ponctuation, Et en physiologie une oxydation, Si à la vie elle est nécessaire, Elle s'accomplit de façon involontaire. Depuis le fond des âges, En les voyant s'élancer, On désespère, On enrage de si mal les imiter. C'est une situation instable, Un caractère impétueux, Une montagne très capable ; D'ensevelir jeunes et vieux. Mon coup n'est pas fatal, Mais je fais parfois mal, Souvent je suis dressé, Et sent bon la marée. Je suis blanc comme la neige, Mais je suis chaud comme la braise.