SparrowBot/deploy/res/fouras.txt
2017-09-25 19:24:16 +02:00

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Plaintext

Pour les enfants, le noir
En est souvent source le soir.
Mais qu'elle soit bleue ou belle,
Elle peut donner des ailes.
D'avril c'est une farce.
De mer ou d'eau douce,
Il est excellent pour la santé.
Il est parfois volant.
Ses ailes
Ne lui servent pas à voler.
Bien qu'âgé très souvent,
Il reste pourtant dans le vent.
On l'éclaire en fournissant des explications
Vénitienne pour des illuminations.
Elle est parfois magique.
C'est un habitant d'une loitaine contrée,
Un oiseau
Sa chair au goût particulier,
Est pleine de vitamine C.
Quand il est grand il faut faire vite.
Son emploi est utile à l'élève,
Et on apprécie beaucoup celui des cerises.
Petit four quand on le mange,
Convertible quand on le range,
On aime bien s'y enfoncer.
Et du premier, se régaler.
Intime on lui confie nos secrets.
Interne, pour les collaborateurs de l'entreprise.
On le lit, l'écoute ou le suit chaque jour.
Ce véhicule ne se trouve pas à côté du premier,
Mais il ne faut pas le rater, car c'est le dernier.
C'est aussi une valeur égale à une année,
Et des moutons, grâce à lui, sont écartés.
En parler c'est dire des banalités.
Puissant, influent, on "la fait avec le beau temps".
Elle est parfois battante.
C'est un entassement d'objets,
Une partie de pièce de monnaie.
Elle fournit de l'énergie,
L'heure précise, elle qualifie.
C'est une importante quantité d'éléments,
Nombreux et sérrées.
De gens ou de choses entassé,
Que définit le mot : nuée
Il fait de la restauration.
On y trouve un conservateur.
On apprécie sa collection.
Son gardien veille à toute heure.
Deposition officielle effectué à la barre,
Dans le cadre d'un procès.
Il est parfois d'amitié.
Il faut bien rentrer dedans,
Nous répète-t-on souvent.
C'est un chef au restaurant.
A l'école s'y met l'enfant.
Boîteux, de Barbarie.
Enchaîné le mercredi.
C'est aussi une tasse à bec,
Pour boire faire boire les malades.
Petit, il est terme d'affection.
Mauvais, il change le goût du vin.
Parfois poussé trop loin.
Les animaux aiment sa friction.
Y être c'est être dans le besoin.
Sans elle, pas de plaisir.
Etre sans, c'est ne pas se préoccuper des autres
Elle peut descendre ou bien s'élever
Et au fil des ans elle peut changer
Pour elle, des cordes sont utilisées
Et la peur peut nous en priver.
Chanson dans laquelle les voix se répètent,
Les unes derrière les autres.
Pièce d'artillerie militaire,
C'est aussi une arme à feu.
C'est une grande experte en tours.
Elle est parfois d'un grand secours.
C'est aussi une acrobatie.
A la fortune, on l'associe.
D'Asie ou d'Afrique,
Ses défenses sont hélas très convoitées.
On aimerait avoir sa mémoire.
Un aigle il représentait
Pour les romains
Cet emblème symbolique,
Signale aujourd'hui une boutique.
Cette "tricherie" est tolérée,
Au départ d'une course cycliste.
Canne, elle est en toile et repliable.
A votre seuil elle est souvent,
Son coup fatigue promptement,
Son code est assez répandu,
Nombreux y sont venus.
Ne pas en être une n'est pas un signe d'intelligence.
Elle a sa vitesse et sa nature.
On a parfois besoin des vôtres.
Cette pierre tendre de feuilletée,
En Bretagne, est très employée.
les écoliers l'ont tous levée.
Et parfois, elle est très salée.
D'entrain il est amusant.
On le voit parfois jamais.
De gras, il est souvent partagé.
Chorégraphie des pluts petits,
Souvent effectuée de nuit,
Sur son chemin le garde va,
Sur les portées on l'aperçoit.
Plusieurs tours sont parfois indispensables,
Pour connaître son résultat.
Ses modes sont variables,
Mais elle concerne souvent l'Etat.
Les habits des mannequins,
Elle coud, surfile et pique.
Elle permet aux comédiens,
De répéter leurs répliques.
Sa robe sied au casanier,
Et l'air lui permet de rouler.
Sa musique a peu d'instruments,
Forte, elle garde votre argent.
C'est un corps en mouvement,
Qui égaille les chambres d'enfant.
On s'efforcera de le découvrir,
Car l'auteur du crime il permet de saisir.
Il n'est pas offert mais donné.
Il a tendance à commander.
Celui du jour est à traiter.
Public il est parfois troublé.
On peut en trouver des carrés.
On peut la prendre sans bouger.
C'est par elle qu'on attaque le mal.
Elle est souvent végétale
Sur une planche, il fait bûcher.
Sa bouchée n'est pas très cotée.
D'une bouche il peut être ôté.
S'il est perdu, il est mangé.
Ses activités sous-marines,
L'amènent à croiser des requins.
S'il se cantonne à la cuisine,
Il lave la vaisselle de ses mains.
On peut y mettre ses papiers,
Son argent ou bien ses clés.
C'est aussi une façon de se coiffer,
Ou bien encore un fruit à déguster.
"D'adresses", il n'a jamais manqué.
Il peut faire preuve de santé.
De ses notes, on ne peut pas jouer.
"De bord", il aide à naviguer.
Il prend des coups sans arrêt mais sans peine.
Ovale, ses réactions sont incertaines.
Au gré des vents, il vogue en l'air.
Au sommet d'un pied, c'est aussi un verre
Dans l'urgence vous le pressez.
A la grève il est associé
D'une symphonie c'est un morceau.
Il nous fait mal lorsqu'il est faux.
Trajectoire parfois calculée.
Elle sert notamment pour les fusées.
Cette cavité est par l'oeil aussi habituée
On l'extrait des sols miniers,
Et elle se vend sur les marchés.
Elle peut parfois faire marcher;
Celui qui refuse d'avancer.
Le chat aime bien courrir après.
De laine, elle peut être formée.
Dans le Sud-Ouest on aime y jouer.
Sans pour autant la dérouler.
Héros d'Andersen dans un célèbre conte,
En musique c'es t une note qui fait honte.
Il désigne une nuance de bleu.
Quand il sucre le café il fait des heureux.
Dans sa salle on perd ses pas.
Sur ses panneaux on cherche sa voie.
On peut y avoir de nombreuses rames.
Et c'est aussi un cri d'alarme.
Cadeau qu'on fait à un félin.
Qui dans la poche parfois n'est point.
Souvent tirée par les petits
La mauvaise vous calomnie.
On peut la perdre ou la voiler.
La sauver ou encore la cacher.
D'une médaille c'est un coté.
Il y en a six sur un dé.
Aussitôt rendue et prononcée,
Elle doit être appliquée ;
Et si l'on se retrouve incarcéré,
C'est par cette decision des jurés.
Choses et gens, par lui sont séparés...
De langage, c'est une grossièreté.
Aux danseuses, le grand est réservé,
Et s'y tenir, c'est être éloigné.
Par nature, il n'est pas solitaire.
Il est sanguin, mais pas sanguinaire.
Il réunit chanteurs de rap ou militaires.
Il est parfois très agité.
Au plomb on peut le comparer.
Réparateur très apprécié.
Il vous fera toujours rêver.
Elles font zigzaguer les champions
Et permettent la communication.
Dérobées sans jamais être isolées
On peut les fermer à votre nez.
Connue pour ses galeries, et le ton de son gris.
Elle évoque la mauvaise vision.
C'est aussi un espion.
Elle peut être de fond ou de coton.
Piège mortel pour les moucherons.
Quand elle est exceptionnelle,
Elle peut devenir oeuvre immortelle.
Ce légume cultivé, n'est dans le sang pas apprécié.
Si l'auteur de le recherche point,
Il peut, près du canard, se trouver cuit à point.
Entêté par tradition,
Son bonnet est humiliation.
Il est aussi grison,
Pour avoir du son.
On le déguise à l'occasion.
Cultivé mais pas érudit.
Plutôt acide est sa passion
Lorsqu'il est mûr, on l'apprécie.
Le fou peut être à ses côtés.
Son enfant est souvent gâté.
Lorsqu'il est bleu, il est très vif.
Sur l'échiquier, c'est l'objectif.
Dotée de ses deux "L"
C'est presque une ritournelle.
Sitôt qu'on en ôte un
On marche plein d'entrain.
On le dit parfois populaire.
Par les premiers, il est ouvert.
On y croise les débutants.
Il est masqué de temps en temps.
Pour la chambre, i lest tout petit.
Souvent dans la fosse, il est mis.
Son fauteuil est placé devant.
Ses bois résonnent avec le vent.
Elle a pour habitude de dire la vérité.
D'amour ou d'affection elle peut témoigner.
Il faut en faire plusieurs pour être reconnu.
Au Neuf, en maths, mathématiquement, elle est tenue.
Contre elle on a une dent.
On a peur quand on l'entend.
Elle nous fait jouer pourtant,
Et permet le déplacement.
Elle est plus facile à tourner,
Lorsqu'on l'a allongée.
Blanche ou bien chocolatée,
Elle peut s'associer au laurier
Il peut-être aussi bien lourd que léger.
Quand il est utilisé pour construire.
Si en défense il peut être joué,
C'est aussi un argument difficile à détruire.
On ne voit rien dans ses carreaux.
Le dîner repose sur elle.
Parfois potable quand elle est d'eau,
Elle fait aussi dans la dentelle.
Célèbre pour sa rapidité,
Il peut marquer notre lucidité.
C'est une lueur qui peut être dangeureuse,
Bien que certains lui préfèrent la religieuse.
Courte, elle permet de s'élever.
Pour lire une carte il vous la faut.
Dessous certains ne veulent passer.
Dessus on grimpe pour aller haut.
Automobile québécoise ;
Blindé ou d'assaut dans l'armée
On le préfère fleuri au carnaval.
Si de sable, il est.
Ou de maison est composé.
On peut aussi bien le manger.
Et c'est une tâche sur le papier.
Cette petite bête qui se multiplie,
Aime bien sortir la nuit.
Tout d'un coup et sans avis,
Il incite à la mélancolie.
La croquer sous la dent, est un réel délice.
Mais au même endroit pourtant,
Elle peut être un vrai supplice.
Morte ou vivante,
On la tient toujours pour garder un secret
Et elle est bien pendue chez le bavard.
C'est une image à reconstituer
Qu'on a éparpillée.
Que de patience exigée
Pour enfin le recomposer.
Il est gros pour les tout petits,
Et d'amour il faut languir les grands.
De larmes il est souvent suivi,
Sa peau rétrécit tout le temps.
C'est un plat consistant.
Elle s'oppose au courant.
Sans véhicule est ce conducteur.
Elle produit de la chaleur.
Cette graine consommée,
Est pleine de qualités.
Elle fait le bonheur des myopes,
Sans elle, pas de télescope.
Elles font autorité
Dans toutes les sociétés.
Leurs gens et leurs docteurs
Font respecter celles en vigueur.
C'est pour, du four, sortir les pains dorés
Que le boulanger la porte.
C'est avec elle, en grand quantité,
Qu'on ramasse les feuilles mortes.
Très sensible près de la peau,
Mais ne manquant jamais de pot.
En faire une est une faveur,
Fine, elle désigne les meilleurs.
Morceau de pain très bon marché,
C'est une faible quantité.
On peut la servir à la reine,
Pour n'en faire qu'une, point de peine.
Parfois blanche, ou bleue, souvent noire,
On est discret lorsqu'on y rit.
Elle s'apparente souvent à l'ennui,
Pas sûr qu'elle aime les rasoirs.
Oiseau des champs
Au cri strident,
Il est auteur anonyme
Et pousse-au-crime.
Elle chagrine le matin, mais le soir
Elle redonne l'espoir.
Fileuse infatigable,
Elle tisse des fils impalpables.
Il n'est pas méridional,
Mais on le dit cardinal.
Et celui qui le perd, c'est fâcheux.
A un comportement curieux.
Faite de trous et de bosses,
C'est une curieuse boîte en os.
Fractures migraines ou céphalées,
Lui causent bien des difficultés.
Eternelles au pluriel,
Ephémères au singulier,
On aime la voir à Noël
Mais pas plus tard qu'en février.
Miroir, tant son dos est brillant.
Elle vit tout au fond des étangs.
Comme elle, nous faisons bien des sauts,
Comme elle, on ne dit pas un mot.
Il témoigne du passé
Et se remplit au fil des années.
Parfois illustré,
On y classe des objets oblitérés.
Souvent inhabité,
Il est inutile d'y parler.
Mais hélas, sans le désirer,
On doit parfois le traverser.
Elle nous tire les larmes des yeux
Sans que nous n'éprouvions de chagrin.
Elle suit lentement son chemin qui
Toujours la mène vers les cieux.
Chez Maxim's il nous accueille.
A pied ou alpin c'est un corps d'infanterie.
D'images c'est un photographe.
Petit grain de beauté
Au coin de la bouche.
Cet insecte peut parfois
Nous plonger dans un profond sommeil.
Sans être fou, il a un grain.
Après le gril il va au moulin.
Il fait parfois bien du chemin
Pour être blanchi le matin.
Au jeu ils sont lancés.
Petits cubes de légumes en entrée,
Lorsqu'ils sont jetés, c'est décidé.
Qu'elle soit de famille ou d'idées
Il ne faut jamais la provoquer,
Car si chacun peut la chercher
Nul ne sait comment l'arrêter.
Ce col n'est pas sur un vêtement.
Du carnaval, c'est un beau moment,
L'alpiniste doit le passer.
Et le mannequin doit l'animer.
Ordre est de le garder,
Quel que soit le danger.
Consigne est de l'occuper,
Quelle que soit la difficulté.
En hauteur, c'est une dépression
Et un passage que nous empruntons.
Pratique même s'il est faux,
Blanc, il se trouve dans un bureau.
Elle est moyen de locomotion
Et son sens montre la direction.
Elle aide à descendre ou bien à monter
Ou bien rassemble pour la paix.
De la crainte et du doute,
Elle est à l'opposé,
Et si vous la donnez,
Alors donnez la toute.
Il figure sur des cartes à jouer.
Petit ou grand dans les cahiers,
Sur les murs et sur le sol il est utilisé.
Et il y en a un derrière lequel on peut regarder.
Toujours près du zénith,
On le sonne à son arrivée.
Parfois le sud, il nous indique
Deux aiguilles au ciel, il fait pointer.
Place des acteurs,
Célèbre on en occupe le devant.
En faire une c'est s'emporter.
Son nom vient d'une île au milieu de la mer
Mais, pour nous, c'est surtout une pierre.
Aux couleurs du soleil le plus souvent,
On la trouve sur plusieurs continents.
D'eau c'est un réservoir.
On y rêve en Espagne.
De cartes il est très fragile.
Son offre est rémunérée.
Du temps il est scolaire.
Les jeunes recherchent
Parfois trop longtemps le premier.
Cette donnée,
Que l'on voit changer
Tout au long de l'année,
Peut cependant être fixée.
Sans lui, pas de culture.
Sa clé n'ouvre aucune serrure.
Le gymnaste peut y exceller,
Chacun peut le piétiner.
Il peut souffrir d'ivresse sans boire,
Car c'est en hauteur qu'on peut le voir.
Pics et pitons il ne craint pas
Et, en cordée, il avance pas à pas.
Il est bon quand il est tôt,
Quand il est tôt il est petit.
Mais aussi il peut être beau,
Quand il est tard, il est fini.
Parfois nouvelle, parfois pleine,
Sa couleur n'est pas celle de l'ébène.
Des rêveurs elle est la retraite favorite,
C'est le pays des Sélénites.
Elles tournant, rapides ou lentes,
Et règlent, dit-on, notre sort.
Mystérieuses mais toujours présentes
Depuis la naissance jusqu'à la mort.
On peut le donner à quelqu'un.
De paix on y trouve le calme,
A l'étranger c'est un refuge
A piquer, elle s'entête,
Jusqu'à être gavée.
Certaines cartes en sont dotées,
A l'oreille on la met.
D'ange ils sont appréciés dans les potages.
Lorsqu'on a trop fait la fête,
Ils sont douloureux.
Et en cas de soucis, ils deviennent blancs.
Sa forme antique nous rappelle
Celle du corps féminin.
Au fonds des mers nous cherchons celle
Qui contenait le grain, l'huile ou le vin.
C'est un coup de pinceau
Qui donne le ton et la couleur.
Attendue patiemment par le pêcheur,
En escrime par elle on gagne l'assaut.
Sa bague est sans valeur,
Pourtant elle a ses collectionneurs.
Il est très prisé des amateurs
Qui savourent ses senteurs.
Elle porte manteau et tablier,
Et se cache sous son rideau pour ronfler.
Une fois par an, elle est visitée,
Par un barbu au dos bien chargé.
Si le vent le pousse et l'excite,
Tout ce qu'il voit il le dévore.
Son appétit est sans limite,
Mais s'il boit trop, c'est la mort.
On me trouve au début de toute portée,
Avec moi, dans les champs,
L'évasion est garantie.
Je suis indispensable pour réparer.
C'est une double fréquence,
Le nom d'Auguste dans son enfance,
Une position du fleuret académique,
Une semaine liturgique.
Du bout des lèvres
A son ami il donne la voix,
Et, avec discrétion,
Alimente la conversation.
S'il se montre en paillettes
Ce n'est pas pour faire la fête
On l'apprécie pour nettoyer
On le passe pour enguirlander
Posée c'est une question,
Parfois a base de poisson
On l'utilise en dissolution
Et c'est aussi une punition
Il lui arrive d'être à terre,
Dans le plat on le met par paire,
A la lettre parfois collé
Il est moqueur devant le nez
A peine fini,
Il se perd dans le passé d'où nul ne revient.
Demain ce ne sera plus qu'hier ;
Hier c'était simplement demain.
Des monts c'est la ligne dentelée
Et d'un mur c'est le sommet.
Sur la tête des gallinacés,
Elle est souvent dressée
On le bat pour rassembler ;
A l'ordre c'est une réprimande,
Touche c'est un retour en arrière.
C'est parfois le bout du fouet ;
Elle fait parfois des trous d'un seul jet ;
Parfois elle est décolorée
Et même nettoyer la plaie
Vêtues ou dénudées,
Si certaines sont vénérées
D'autres encore ont fait entrer
Bien des hommes dans la postérité.
Substance incolore utilisée
Comme agent de conservation ;
De bain il parfume,
Marin il est issu de l'eau de mer.
En douze il est coupé
Sur la voute étoilée.
Dans ses signes certains vont y lire
Passé, présent ou avenir
Compagnon du premier jour ;
Chaque jour il nous reçoit ;
Un moine autrefois
Y faisait plus d'un tour.
Ses marteaux et leurs coups,
N'enfoncent aucun clou.
Doté d'une queue, il n'est pas animal.
Sans avancer, on appuie sur ses pédales.
Marin infortuné,
Par son fils vainement recherché,
Aux monstres il a échappé
Pour retrouver sa liberté .
D'amour c'est une tomate ou une friandise ;
On y tombe parfois suite à une forte émotion ;
Qualifie souvent un être niais ou crédule.
Le Président sur la tête peut le porter ;
Le maçon sur le mur peut le projeter,
Le canonier contre l'ennemi l'utiliser .
On la trouve dans la pensée
Du philosophe et du poète,
Dans le ravin c'est un danger ;
Parfois dans la mer elle inquiète.
Elle figure une somme d'argent
Confortable une siège elle rend.
Chaque année elle nous couronne,
Pourvu qu'elle soit moelleuse et bonne.
Bien que parfois dithyrambique,
Elle n'est pas toujours sympathique.
Elle est difficilement supportable,
Lorsqu'elle se montre redoutable.
Par son mouvement de va-et-vient,
A créer un courant il parvient.
Il change une chaleur détestable,
En un moment bien agréable.
Il peut-être fait de soi
Ou encore de chocolat,
Ce parfait quadrilatère
Et une belle main au poker.
Pas très aimé des citadins,
Enfants et vieux aiment l'attirer.
Il peuple pourtant toits et jardins,
Et des escrocs il est le jouet.
Jamais éloigné, son ossature de bois léger
Plane au dessus de nous, tel un épervier.
Il s'élève dans le ciel comme le noir corbeau
Et pourtant il n'est pas un oiseau.
Dans cet ensemble d'idées
On est parfois égaré,
Ces fleurs à l'aspect velouté
Dans des jardins sont plantées.
C'est une partie intégrante d'un pont.
Le rendre, c'est en avoir ras le bol.
Et bien qu'il désert nos écoles,
Contre les taches, c'est une protection.
Etonné, on y reste.
C'est un succulent gâteau rond imbibé de rhum,
Garni de raisins de Corinthe.
Parfois loin de la réalité
Une image elle peut accompagnée.
La réponse ici trouvé,
Vous permettra peut-être d'y entrer.
Il faut compter celle de la journée.
Celle du succès est recherchée.
On peut la suivre, attentionnée,
Pour la réussir et se régaler.
Les pierres ont le leur.
S'y asseoir demande beaucoup de souplesse.
Il travaille pour vous messieurs sur mesure.
A ce jeu on peut gagner un lot,
C'est une épreuve pour les chevaux.
Cet examen établit un classement
Entre tous les participants.
On peut la visiter
Ou bien la savourer.
Mais ce projectile léger
Peut-être un véritable danger.
Enigme ou mystère,
Pour lutter contre elle ici
Vous rassemblez vos lumières
Instrument qui ne joue pas de musique
Son aiguille personne ne pique.
On se trouve tout affolé
Si par nous, elle est égarée
Arborant un collier quelquefois.
Lorsqu'on la croise elle nous fait peur.
On croit bien n'importe quoi
Lorsqu'on l'avale, elle et ses sœurs.
C'est un superbe chapeau.
Il permet de voyager en bateau
à travers les Amériques
Pour les yeux c'est un joli colorie.
Ce café est légèrement adouci.
On peut consommer ce fruit,
Ou ce morceau de beurre tout petit.
Pour tous ceux qui ont de l'audace
On la prétend souriante.
Pour elle, des hommes deviennent rapaces,
Car elle est si tentante.
Elles avancent au gré du vent
Recouvrant tout, même nos pas.
Montages mouvantes,
Et pourtant tombeau de l'imprudent qui s'y perdra.
C'est un espace bien silencieux.
On peut le regarder dans les yeux.
C'est une manière de chauffer.
Une couleur parfois cassée.
Il peut être simple ou bien grand,
Il est plénitude ou amour.
C'est lui qu'on recherche toujours
Et que l'on trouve heureusement.
Elle peut tuer son compagnon
En toute impunité et sans avoir
Même malgré son nom, a se confesser.
Rarement le chien s'en sépare,
Et bien souvent, la femme s'en pare.
Son coup demande des efforts,
Et c'est parfois une chaîne en or.
C'est une apparence trompeuse,
Une mauvaise interprétation,
Une erreur de la perception
Qui peut s'avérer fâcheuse.
Sur une table on peut y jouer.
Sur un terrain le pratiquer.
Devant un mur s'y entraîner,
Dans des chaussures fortes appréciées.
Son coup est toujours surprenant.
Ses pièces ne sont pas d'argent.
Il est réputé pour ses scènes,
Antique c'était une moitié d'arènes.
C'est de la terre qu'il est né.
Son eau par un crapaud est altérée.
Pour une femme il est précieux,
C'est parce qu'on ne peut éteindre ses feux.
A l'origine de tout être vivant,
Celles du fort vous réservent
Bien des tournants.
Elle peut être un mari.
Il s'agit d'une partie.
Pour pouvoir la trouver,
Il vous faut diviser.
Ce n'est pas une ouvrière
Que l'on trouve dans la fourmilière.
Quand elle est petite, avec elle on pédale,
Et avec Claude c'est un vrai régal.
Il est toujours courbé.
Devant on doit souffler.
Ce fil de fer replié
Nous sert pour attacher.
Il résulte de la gravitation.
Sur le cœur il fait pression.
Son lancé est digne du champion,
Quand il est lourd c'est un camion.
Ce tableau n'est pas vraiment apprécier
Pour vous nourrir vous la casser
En travaillant vous la gagner
Sortant du four elle est dorée
Jamais en retard il est souvent presser
En rondelle il peut être découpé
Par lui une couleur est qualifiée
Avec le poisson il peut se mariner
Si vous souhaitez la conserver
Des excès il faut vous écarter
Elle marque le départ et l'arrivée
Il y a en a cinq sur une portée
Elle possède sa propre maison
Et intéresse peut les garçons
Cible parfois d'aiguilles
Elle plait surtout aux filles
Appréciée des gourmands, elle est cerise ;
Porteuse d'échantillons, elle est valise.
Elle vit en colonies
Et passe l'hiver en léthargie.
Minuscule et léger,
Il est de toutes les fêtes.
Et si pour rire on vous en jette,
Ne craignez rien, c'est sans danger
C'est une eau tombant en quantité,
Sur un fleuve éclaboussé.
Elle provoque du cristallin l'opacité
Et rapproche à terme de la cécité.
De justice
Il abrite des hommes de loi ;
L'avoir fin c'est être un gourmet ;
Il est de glaces à Versailles.
Elles sont parfois décollées ;
Les murs en sont parfois dotés,
Attention à ne pas vous les faire tirer
En cas de rappel à l'ordre.
Ce militaire se marie au cinéma
Pour notre plus grand plaisir ;
On qualifie ainsi une personne autoritaire,
Associé aux voleurs c'est un jeu.
Qu'il soit haut, plat ou usé
Ils sont utiles pour marcher
Au carnet ils restent fixés
Les tournés c'est s'en aller
Une table il peut exiger
De gazon il peut se contenter
Son filet ne sert pas à pêcher
Ses tournois sont très prisés
De France, il nous captive
De main, il est magique.
Si mesure c'est celui du cou,
Celui du monde vaut le coup.
On la casse pour apaiser la faim ;
Sur la peau suite à une blessure, elle tombera ;
On essaie de bien la gagner
Elle peut être bien chargée
Tout en étant obstiné
On peut l'enfiler au pied
Et la porter en été
Lorsqu'il quitte sa carrière
Généralement il est poli
De veines il est souvent couvert
Et bien des sculpteurs l'apprécient
Lieu austère où pour offrir des prières,
Des hommes deviennent parfois solitaires
En abandonnant les biens de cette terre.
On y entre par la cour
Pour mieux en sortir par le jardin.
Elle est fréquentée par les baladins
Qui parlent souvent d'amour
D'une grande dureté est le bois de son cœur
Son nom témoigne de sa couleur
Taillé, sculpté elle est exotique
Elle fait l'objet d'un certain trafic
Elle plonge dans un bruit
Sur les rongeurs imprudents
C'est aussi un conduit
Fait de fonte ou de ciment
Basse ou haute,
Elle a son lit qui ne concerne que des punis,
Les condamnés en son palais,
En sont toujours pour leurs frais.
De par son nom toujours triste,
Même s'il ne connait point les larmes
Modèles des peintres artistes,
Ou des poètes dont il inspire l'âme.
Synonyme d'habileté
Un jongleur sait la gérer
On la trouve dans un carnet
Ou l'on part sans la laisser
C'est un golf ou l'on peut se baigner
C'est une cloison vitrée
Petit fruit elle est savoureuse
Mais elle peut se montrer dangereuse
Rapidement il se déplace
Et peut parfois laisser des traces
Souvent précéder par ses chiens
Il possède des patins
Près de l'écritoire,
Elle peut être bleue ou noire.
Indispensable à l'art calligraphique,
On ne la voit pas si elle est sympathique.
Sa peau a certaines propriétés
Sa chasse est réglementée
C'est une médaille qu'il faut mériter
Il vient de la famille des bovidés
C'était une place publique
Dans le monde antique
A Rome ses ruines sont admirées
Aujourd'hui ont peut y échanger
Dans le désert, elle peut être trésor,
Ultime espoir du naufragé,
Elle peut être sabrée pour le retour
Des Robinson Crusoé
De vélo elle saute parfois ;
Son travail n'est pas passionnant ;
On la porte en or
Ou en argent autour du cou.
Elle désigne une aptitude
Physique ou mentale
C'est un haut lieu pour les études
Juridique ou médicale
Elle fait marcher à la baguette
Elle connait la dextérité
Vieille et laide ou jeune et jolie
Elle resplendie dans son logis
Virile, vive ou furtive
Discrète ou administrative,
A terre souvent elle fait
Que le marin se reconnaît.
Volcanique,
Elle est violente ;
Cutanée elle nous couvre de boutons ;
Dentaire, elle fait souffrir
Chez le notaire c'est un original
De l'heure c'est une division
En mesurant votre inattention
Elle vous serez ici fatale
A l'abstention il peut pousser,
Il lui arrive de planer.
Son ombre nous fait hésiter.
Pour le sceptique il est semé.
Il conjure le mauvais sort,
Même s'il est mort.
De rose, il est exotique.
Au pluriel, ils jouent de la musique.
Le ver était signe d'opposition
Pour les centurions
Il fut pourtant protection
Pour mater des rébellions
Une teinte de rouge elle peut définir
Des aliments liquides elle peut contenir
Elle peut être réfractaire
Tout en étant faite de terre
Dans son œil il ne voit rien
Après lui il ne reste rien
Cette bourrasque en tourbillon
Reste une histoire de pression
Par son mouvement de va-et-vient,
A créer un courant il parvient.
Il change une chaleur détestable
En un moment bien agréable
Pour ne pas se faire remarquer,
Il passe du gris clair au vert foncé.
Pour préserver son intérêt,
Il porte une veste facile à retourner.
De pierre il est souvent constituer
De feuilles il peut être composé
De note on aime le remplir
Le chirurgien il va accueillir
Délicieuse est celle de l'agneau
On y porte un fardeau
On la change pour le fusil
Lorsqu'on a changé d'avis
Il est toujours à l'Est
Et ne passera jamais à l'Ouest.
Il assiste à un lever
Mais jamais à un coucher.
Canard vraiment élégant,
Décideur très influent,
Merveilleux à l'opéra,
Pratiqué par bien des chinois
Ce danseur souvent apprécié
Peut être léger comme un joker
Pour clouer il est utilisé
Souvent il est bien mal élever
Elle est bonne ou mauvaise au figuré
C'est un bon tour de magicien
Avec elle le mot devient secret
Elle peut être belle sur le terrain
Génétiques elles identifient avec certitude ;
Digitales elles figuraient sur les cartes d'identité ;
On prend souvent celles de nos cartes de crédit
Telle une colonne élevée,
La gloire peut vous y hisser.
Telle une colonne brisée,
Vous pourrez en chuter.
Faites de lignes courbes et de contours,
Du fleuve ils sont tous les détours
Sinuosité de la pensée,
Ils rendent l'homme plus compliqué
Dans le Jura c'est un cépage,
On le composait pour le mariage,
En colonie il faut l'apporter
Et il ne quitte jamais le geôlier.
Blanche ou noire, ce n'est pas pareil,
De ses charmes on se méfie
Si l'on croit en ses merveilles,
En ses baguettes et gris-gris
Sous les pieds ou la main,
Elle est double pour l'académicien
En abondance dans les prés
De loin vous l'entendez
Bien utile pour les fusées
Il possède une rampe sans être un escalier,
Son action s'applique à la publicité
Ou encore a un produit de beauté
Lieu de dressage
Ou amusement des enfants sages,
On y retrouve des chevaux
Qu'ils soient vrais ou faux
Son vin est né de ferments,
Et c'est aussi un ornement,
En or c'est un grand honneur
Par deux elle sert au nageur
Quand on a soif elle est bien utile,
Les couturières y enroulent un fil
Cet oiseau n'est pas bien gros
Mais peut finir dans nos fourneaux.
A Boyard, il serait en cage
Malgré sa force et son courage.
Sans jamais ici faiblir,
Sa part vous pouvez conquérir.
Comme le coton il est léger,
Et de glaces il est constitué,
Cette céréale déshydratée
Est idéale au petit déjeuner
On compte sur elle pour le transport
C'est une bête qu'il faut ménager,
Elle peut être en or
Sans elle, des verres ont ne pourrait porter.
Elle vient de Lisbonne ou de Roscoff.
C'est une grande voyageuse
Aussi bien qu'un galon pour le sous-off,
Mais à Marseille elle est fameuse
Elle révèle tout de vous,
Que vous soyez génial ou fou.
Parfois anglaise, ou bien gothique,
Celle des Etrusques reste hermétique.
Souvent associé au printemps,
On peut aussi plonger dedans.
Très utile en pâtisserie,
Pour peindre on s'en sert aussi.
Grâce à lui on peut se nourrir,
Mais on peut aussi se fleurir.
Public, à tous il est ouvert.
Secret, il l'est pour ceux qui aiment se taire.
Souvent causé par la distraction,
Cette maladresse peut avoir des répercutions.
Cette perche sert a manœuvrée,
Un bateau ou a sortir un poisson de l'eau.
Gage d'amitié,
Sa valeur est sans importance.
Coutume de civilité,
Il n'est que convenance.
Pour la police, ils sont un clé
Lorsqu'ils se font tirer le portrait.
Ils sont nombreux dans les cuisines
Et ne lésinent pas dans les usines.
Du fond de la Provence,
Sous le mistral elle danse,
De son cœur, née l'essence
A une couleur elle a donnée naissance.
On s'appuie très souvent dessus,
Il a régulièrement des frais
De votre chaise il est connu
Il peut aussi être secret.
Aérienne et légère
Elle s'envole, éphémère.
Expédiée du Vatican,
Elle devient un commandement.
Il peut s'agir d'un soupçon
Car c'est une petite quantité
On aime cette peau si parfumé
Provenant de l'orange ou du citron
Au balcon vous l'apercevez,
L'étoile vient s'y reposer,
Le gardien peut y résider
Baignoire, elle n'est jamais mouillée
Avec ou sans masque
Le jeune est ambitieux,
Mais la mer
Le rendra vieux.
Pinceau des peintres et doreurs
Ce sobriquet est peut flatteur
Il hiberne au fond d'un terrier
Et le savon il fait mousser.
Autrefois elle acheminée bien du courrier
Elle est souvent synonyme de voyages
Parfois au fond d'un grenier
S'y entasse des souvenirs sans âge.
Dans une formule consacrée,
Par une cour est exigée.
A quelqu'un peut être assenée
Si par quatre est multipliée.
Si on la perd
On ne sait plus rien,
Si on la retrouve,
On redevient quelqu'un.
Pour unir et pour assembler,
Son pas doit être enfoncé.
Pour ce faire, il n'y a qu'une recette,
Il suffit de lui tourner la tête.
A l'issue de noir combat,
On la scellé mainte fois.
Elle vous remplie d'émois,
Lorsqu'elle est passée au doigt.
Son trait est dépourvu d'esprit
Mais elle ne manque pas de force
C'est un mariage, une fusion
Que l'on célèbre avec des noces.
C'est un prénom peut usité
Elle est aussi une herbacé
Il suffit de l'effeuillée
Pour qu'un cœur tendre soit chaviré.
Dans un pays chaud, elle est née.
Par sa couleur est désignée.
Suave et pleine de douceur,
Elle apporte force et vigueur.
Sa forme longue et plate
Fais de bien jolis yeux.
C'est une bonne patte,
Et son lait et soyeux.
Elles nous entourent, elles sont partout,
Elles donnent de la vie à tout.
Sans elles le monde serait sombre
Et ressemblerait à une ombre.
Semblant inaccessibles, elles sont là,
Dominant les mers et les terres.
On dit qu'elles ne se rencontrent pas,
Et que d'une souris elles peuvent être la mère.
C'est un artifice caché,
Un bonhomme indélicat,
Un galon pour l'officier,
Un pain mince en tout cas.
Au milieu ou de coté
On s'applique à la tracer,
Et si elle peut être bouclée
Sa chaire est plutôt estimée.
Elle enveloppe corps et bras,
C'est une feuille de tabac,
C'est une allure de voiliers,
Longtemps elle fut liée à l'épée.
Spectacle magnifique,
On y rencontre un monde fantastique
Peuplé d'êtres surnaturels
Aux pouvoirs immatériels
Il peut vivre dans les mers,
Ou avoir une jument pour mère,
Dans les compétitions automobiles,
Cette voiture est parfois utile
C'est un oiseau qui nage et n'est pas frileux
Mais aussi un poisson plutôt onéreux
Cruelle ou héroïque, il a pu se montrer
Et dans la Rome Antique, en maître il a régnait
C'est une apparence qui peut tromper,
Les femmes aiment s'en appliquer
Parfois recouvrant les souliers,
Les œuvres il sert a protéger
On le fait souvent a regret
Certaines femmes en font leur métier,
A deux le sien ont peu le monter
Pour mieux le mettre en scène après
Il peut être chiche, sans se montrer radin,
S'il est cassé, se n'est pas par manque de soins
Dans une assiette il est parfois très fin,
Sur un tissu c'est un gros point
Il est hier ou éloigné,
Et peut remonter à l'Antiquité
Car, sans lui, demain
Ne signifie rien.
C'est un luminaire
Il peut être oculaire
Pour représenter la Terre
Sa forme est une sphère
Très couru dès qu'il fait chaud,
L'alpiniste l'affronte et en vise le haut
C'est une réserve naturelle,
Mais qui ne restera pas éternelle
Elles font le tour des continents.
On les gravit difficilement.
Mais se les tenir,
C'est quand même beaucoup rire.
Il habite aux antipodes
Et, chez nous, on en voit bien peu.
Quand il se défend, c'est commode,
Il prend appui sur sa queue.
C'est un gouffre au fond l'océan,
Les plongeurs y font leur entrainement
Un orchestre peut très bien s'y trouver.
Et certains animaux y sont en captivité.
Même accomplie dans la douleur,
Elle symbolise la joie et le bonheur,
Elle est début et jamais fin.
De chaque être, elle commence le destin.
D'une aile c'est l'extrémité
En cuisine,
Il est battant
Son coup nous remet sur pied
On lui fait constamment la peau,
A vos semelles il est collé,
Il est souvent rond au bureau
En haut du crâne, il est perché
Celle une cellule,
N'est pas celle blindée
C'est une opération,
Qui aide à mieux régnait
Parfois mauvaise et redouté
Elle peut faire des blessés
Qu'elle soit d'eau ou de reins
Elle est aussi mot de la fin
Il est souvent compris
Il veut toujours aider
Il est souvent gagnant
Parfois vous le rendez
Il est toujours au cœur des flammes
Mais c'est loin d'elle qu'on le fond
Encore nombreuses y sont les femmes
Et les étudiants y abondent
C'est un rassemblement
Qui peut être électoral
C'est une ile également,
Volcanique et tropicale.
D'une arme à feu,
Il peut être une pièce.
Et nos amis sont nombreux,
Issus de son espèce.
Douceur d'une ouvrière
Obscure et sans grade,
Friandise princière,
Régal de plantigrade.
Quand on joue
Il faut la rattraper,
Quand on la tire
Il faut l'éviter.
Il est enfermé dans une cage
Mais il n'est pas sauvage,
S'il peut rendre certains phobique
Les paresseux le trouvent tellement pratique.
C'est le synonyme de "gros",
Par qui on jauge les bateaux.
Mais si vous êtes dans l'auto,
Moins vous en faites et mieux çà vaut.
Qu'il soit décoré ou peint,
Chaque noble a le sien.
Il faut parfois le redorer
Pour sortir de la pauvreté.
Il est parfois critique
Il peut être invoqué
Fort utile à l'équipe
Son trait peu amusé
Chacun a le sien, dit-on
Qu'il soit mauvais ou bon.
Et si la nature vous en a fait don,
Vous possédez un grand renom
Bien mal gardé
Est le secret de ce jouet.
Mener sa vie
N'est qu'une facétie.
C'est une excroissance ligneuse
Qui donne au bois sa rareté
Elle peut être une pierre précieuse
Ou bien permet d'y voir plus prêt
Il est point de départ
Sans mener nulle part,
Terreur de l'écolier
Surtout s'il est pointé.
Pour notre dos, c'est un soulagement
Mais il peut se monter brûlant
Cette chemise n'est pas un vêtement
Mais contient des documents
C'est un fameux tailleur de pièces
Bravoure ou fois peu témoigné
On le redoute a son passage
Et il surprend s'il est manqué
C'est un petit air léger
Qui nous ravit l'été.
Sans "R", elle est glaciale,
Car plutôt hivernale
On la tourne pour avancer ;
Mais quand on l'est,
Cela signifie "être branché"
Quand il est cloche,
Il ne sonne pas.
Quand il est melon,
On ne le mange pas.
Quand on y est,
On ne sait où on est.
Il n'est fait que d'eau,
Mais peut devenir un impénétrable rideau.
Vieux zinc tout bricolé
Ou oiseau de grande ponctualité,
C'est aussi une façon de se héler.
Il est hier, simple ou composé
Et peut remonter à l'Antiquité
Car sans lui,
Demain ne signifie rien.
Chacun a la sienne que nul ne doit copier,
Car l'imiter peut nous faire emprisonner.
Fameuse et attestée, elle est collectionnée.
Et pourtant, une simple croix peut la remplacer.
S'il vous voit vieillir sans jamais rien vous dire,
C'est parce qu'il est poli.
Alors réfléchissez,
Dites-moi de qui il s'agit.
C'est une région française ;
La ville à le sien ; commercial,
On y fait ses achats et d'accueil,
Il nous informe.
Il aime à être montré et suivi,
Et l'imiter est toujours bon.
Il peut servir de leçon
Et de mise en garde aussi.
Un requin peut nous y faire penser,
Un champion peut l'utiliser,
Mais il n'est alors pas pareil
A celui que l'on a dans l'oreille.
Son droit est bien lucratif
Et présente divers tarifs.
Il voyage à travers le monde entier
Et peut s'échanger sur les marchés.
Du début au bout de l'an,
On le garnit de l'histoire de notre vie,
Affaires, amours, jours et nuits,
Tout s'y inscrit précisément.
Signe habituel de réconciliation,
Pour Judas il fut signe de trahison.
On le donne, on le prend,
On le reçoit, on le rend.
Ce Génois exilé ne vit
Pas les Indes convoitées.
Pour les yeux d'une Isabelle,
Il découvrit des terres nouvelles.
Malgré sa douceur,
Sa patte n'est pas sans douleur.
Jouer dessus
Est assurance d'être vainqueur.
Celui de la cathédrale de Chartres
Est vraiment fameux.
On n'en sort jamais sans mal
Mais pour les enfants, c'est un jeu.
Il fait sauter les courageux,
Et tomber les chaussettes quand il est lâche.
Arme des potaches,
Des petites filles, il tient les cheveux.
De politesse, elle est conforme à l'usage ;
Au restaurent, elle est du jour ;
Elle est magique ou algébrique.
Il peut être rond, carré et bien moulé.
Servi au marché, il est découpé.
ça ne vaut pas le coup d'en faire un,
Surtout pour de tout petits riens
Elle communique les vibrations
Qui font chanter le violon.
On la cherche par amour,
Mais on doit la rendre un jour.
Grâce à lui, on peut se nourrir ;
On peut se fleurir aussi.
Public, à tous il est ouvert, secret,
Il l'est pour ceux qui aiment se taire.
Mûr à point,
L'été il est fauché ;
Fauché, on l'est de n'en point avoir
Il est le point de départ
Sans mener nul part.
Terreur de l'écolier
Surtout s'il est pointé.
En noir ou en couleur,
Point besoin de docteur car s'il a bonne mine,
On peut suivre sa trace.
Instrument du bourreau,
Elle accompagnait le billot.
Si ne la laisse point en terre,
On se prépare à la guerre.
Née d'un lapin ou d'un agneau,
Elle tient toujours chaud.
Qu'elle soit brute ou peignée,
Elle peut venir des Pyrénées.
Quand on joue,
Il faut la rattraper.
Quand on la tire,
Il faut l'éviter.
Souvent utilisée en laboratoire,
Son trou est vraiment très petit ;
Celle de l'ordinateur,
Bien que rapide est manuelle.
Si en amour ils sont appréciés,
Les gros, eux, sont à éviter.
Les auteurs en ont des fameux,
Et certains servent pour des jeux.
Autrefois, le maître en frappait le cancre,
Qui la redoutait.
Utilisée par le dessinateur,
Elle doit être suivie par les joueurs.
C'est un accessoire très utile
Qui est petit et attachant.
Et s'il ne tient que par un fil,
Il se fixe aussi en pressant
Même nouée,
On peut encore l'épingler.
Coup bien lancé,
Qui peut être meurtrier.
Bel et grand oiseau,
Qui peuple les eaux,
Ses ailes sont ornements,
Puisqu'il ne peut voler aisément.
Son coup n'est pas fatal,
Mais souvent musical.
Elle est cuite et moulée
Pour être mieux dégustée.
Elles font le tour des continents.
On les gravit difficilement.
Mais se les tenir,
C'est quand même beaucoup rire.
Encore fléau à notre époque,
Par le loup souvent on l'évoque.
On peut hélas en souffrir,
Parfois au point d'en mourir.
La mettre de son côté,
Ne jamais la laisser tourner,
Toujours en souhaiter,
Peut permettre de gagner.
En musique, c'est une ponctuation,
Et en physiologie une oxydation,
Si à la vie elle est nécessaire,
Elle s'accomplit de façon involontaire.
Depuis le fond des âges,
En les voyant s'élancer,
On désespère,
On enrage de si mal les imiter.
C'est une situation instable,
Un caractère impétueux,
Une montagne très capable ;
D'ensevelir jeunes et vieux.