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@ -9,5 +9,5 @@ bin/*
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*.user
lib
deploy
deploy/SparrowBot*
res/rpg.save

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@ -7,7 +7,7 @@
FourasModule::FourasModule() : current(-1)
{
riddles = new Riddles("../../res/fouras.txt", "../../res/fourasAnswers.txt");
riddles = new Riddles("res/fouras.txt", "res/fourasAnswers.txt");
std::srand(time(NULL));
}

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@ -3,7 +3,7 @@
RegisModule::RegisModule()
{
voc.load("../../res/vocab.txt");
voc.load("res/vocab.txt");
}
bool RegisModule::messageHandler(Message msg)

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@ -1,457 +0,0 @@
Pas très aimé des citadins,
Enfants et vieux aiment lattirer ;
Il peuple pourtant toits et jardins,
Des escrocs, il est le jouet.
Mûr à point, lété il est fauché ;
Fauché, on lest de nen point avoir.
Cest un petit air léger qui nous ravit lété.
Sans « R », elle est glaciale,
Car plutôt hivernale.
On la tourne pour avancer ;
Mais quand on lest, cela signifie « être branché ».
Cest la partie intégrante dun pont ;
Le rendre, cest en avoir ras le bol ;
Contre les taches, cest une protection.
Lorsquil nest pas industriel, on ne manque pas de ladmirer.
Propre, il devient une chaussée.
Sur le Web, on peut le consulter.
On peut la visiter ou bien la savourer ;
Mais ce projectile léger peut-être un vrai danger.
Elle est parfois artificielle ou bien encore naturelle.
Mais en laccomplissant, on prend des risques importants.
Affichant de hauts bois, il ne craint pas le froid.
Lorsquon le prend, cest pour aller plus loin.
Redoutable machine de guerre, des murs lui cédèrent naguère.
Généralement, il blatère ;
Cest aussi un signe de naissance.
Il peut être rond, carré et bien moulé.
Servi au marché, il est découpé.
Ça ne vaut pas le coup den faire un, surtout pour de tout petits riens.
Le vinaigre nest pas conseillé pour lattraper ;
Elle est évoquée quand la cible est touchée.
Le curieux aimerait parfois en être une.
Il a une arête et deux ailes de chaque côté.
Parfois comparé à une trompette, qui nest pas forcément bouchée.
Il est bon quand il est tôt.
Quand il est tôt, il est petit.
Mais aussi il peut être beau.
Et quand il est tard, il est fini.
La catastrophe vous a frôlé si près de vous il est passé.
Et personne nest ménagé quand rouge il est tiré.
Pour un secret, on peut lacheter.
On peut se taire et le garder.
Dans un studio, avant de filmer, cest toujours lui qui est demandé.
Elle nous tire les larmes des yeux sans que nous éprouvions de chagrin.
Elle suit lentement son chemin qui la mène toujours vers les cieux.
On dit quil ny en a pas sans feu.
Parfois nouvelle, parfois pleine,
Sa couleur nest pas celle de lébène.
Des rêveurs elle est la retraite favorite,
Cest le pays des Sélénites.
Si le vent le pousse et lexcite,
Il dévore tout ce quil boit.
Son appétit est sans limite.
Mais sil boit trop, il se noie.
Toujours le premier,
Jamais le dernier,
Rien sans lui nest jamais fini,
Car rien ne peut commencer sans lui.
Quand le jour se lève, il est là,
Mais cest à la fin quon le pose.
Il exprime aussi un état
Et aide à préciser les choses.
Cest un accessoire très utile
Qui est petit et attachant.
Et sil ne tient que par un fil,
Il se fixe aussi en pressant.
Dun être ou dune chose, elle est ce que lon voit.
Et si par une on peut être trompé,
Il en est dautres que lon peut sauver.
Cette donnée que lon voit changer
Tout au long de lannée,
Peut être fixée pour se rencontrer.
Dune arme à feu il peut être une pièce.
Et nos amis sont nombreux Issus de son espèce.
Douceur dune ouvrière obscure et sans grade,
Friandise princière,
Régal de plantigrade.
Sil vous voit vieillir sans jamais rien vous dire,
Cest parce quil est poli.
Alors réfléchissez,
Dites-moi de qui il sagit.
Il aime à être montré et suivi,
Et limiter est toujours bon.
Il peut servir de leçon
Et de mise en garde aussi.
Grâce à lui, on peut se nourrir ;
On peut se fleurir aussi.
Public, à tous il est ouvert,
Secret, il lest pour ceux qui aiment se taire.
Un requin peut nous y faire penser,
Un champion peut lutiliser,
Mais il nest alors pas pareil à celui que lon a dans loreille.
On peut y mettre ses papiers,
Son argent ou bien ses clés.
Cest aussi une façon de se coiffer,
Ou bien encore un fruit à déguster.
Elle communique les vibrations qui font chanter le violon.
On la cherche par amour,
Mais on doit la rendre un jour.
Si en amour ils sont appréciés,
Les gros, eux, sont à éviter.
Les auteurs en ont des fameux,
Et certains servent pour des jeux.
Autrefois, le maître en frappait le cancre, qui la redoutait.
Utilisée par le dessinateur,
Elle doit être suivie par les joueurs.
Habitués des bibliothèques
Ou danseurs,
Leur avarice est légendaire.
Au moindre grain, Ils quittent le navire.
Ni Dieu ni homme,
Sa patience est reconnue.
Quand il est passé, la conversation continue.
On le demande,
On le poursuit,
On le perd,
On le passe.
Quand il est cloche, il ne sonne pas.
Quand il est melon, on ne le mange pas.
Au XVIIe siècle, elle était magique.
Au XVIIIe, elle devint gibet.
Aujourdhui elle est rouge pour le dernier.
A la mairie pour les mariés,
A la barre pour la vérité,
Sur la piste pour le passer.
Il est aimé de la tête aux pieds,
Mais ses tours sont détestés.
Il a jardin et sports malgré son renom.
Époque des veillées,
Au nord au sud, il a un nom.
En noir ou en couleur,
Point besoin de docteur car sil a bonne mine
On peut suivre sa trace.
Son cheval nest point sellé,
Mais son plan toujours dressé.
Perdue ou gagnée,
Elle est toujours livrée.
Appliqué dune main, il marque loffense.
Activé des deux mains, de la flamme il conduit la danse.
Entêté par tradition,
Son bonnet est humiliation.
Il est aussi grison,
Pour avoir du son.
Son coup nest pas fatal, mais souvent musical.
Elle est cuite et moulée
Pour être mieux dégustée.
Malgré ce qui se dit, Le canard le redoute aussi.
Malgré son nom, il brûle aussi
Et les liquides il solidifie.
Délicieuse, elle est croquée entre amis.
Dangereuse, elle est lancée aux ennemis.
Encore fléau à notre époque,
Par le loup souvent on lévoque.
On peut hélas en souffrir
Parfois au point den mourir.
Bien mal gardé est le secret de ce jouet.
Mener sa vie, nest quune facétie.
Instrument du bourreau,
Elle accompagnait le billot.
Si ne la laisse point en terre, on se prépare à la guerre.
Née dun lapin ou dun agneau,
Elle tient toujours chaud.
Quelle soit brute ou peignée
Elle peut venir des Pyrénées.
Quand on joue, il faut la rattraper.
Quand on la tire, il faut léviter.
Ses formules sont connues,
Celle du cœur est peu pratiquée.
Apanage des hommes civilisés,
Elle est encore bien méconnue.
Quand on est dedans, on ne sait plus où lon est.
Il nest fait que deau
Mais peut devenir un impénétrable rideau.
Signe habituel de réconciliation,
Pour Judas il fut signe de trahison.
On le donne, on le prend,
On le reçoit, on le rend.
Ce Génois exilé, ne vit pas les Indes convoitées.
Pour les yeux dune Isabelle,
Il découvrit des terres nouvelles.
Il est le point de départ
Sans mener nulle part.
Terreur de lécolier
Surtout sil est pointé.
Malgré sa douceur, sa patte nest pas sans douleur.
Jouer dessus est assurance dêtre vainqueur.
Souvent inhabité,
Il est inutile dy parler.
Mais hélas, sans le désirer, on doit parfois le traverser.
Oiseau des champs
Au cri strident,
Il est auteur anonyme de lettres pousse-au-crime.
Il est hier,
Simple ou composé
Et peut remonter à lAntiquité
Car, sans lui, demain ne signifie rien.
Il est toujours à lest
Et ne passera jamais à louest.
Il assiste à un lever
Et jamais à un coucher.
Chacun a la sienne que nul ne doit copier,
Car limiter peut nous faire emprisonner.
Fameuse et attestée, elle est collectionnée
Et pourtant, une simple croix peut la remplacer.
Elle porte manteau et tablier
Et se cache sous son rideau pour ronfler.
Une fois par an elle est visitée
Par un barbu au dos chargé.
En altitude, cest une dépression
Et un passage que nous empruntons.
Pratique même sil est faux,
Blanc, il se trouve dans un bureau.
Celui qui le possède est bien informé,
Malheureusement il est parfois crevé.
Celui de lorgue on fait résonner
Et bienheureux il rend le jardinier.
En musique cest une note qui fait honte.
Il désigne une nuance de bleu.
Quand il sucre le café, il fait des heureux ;
Cest en V quil vole pour migrer.
À peine fini, il se perd dans le passé
Et ne peut être ajourné.
Demain, ce ne sera plus quhier,
Hier, cétait simplement demain.
Du début au bout de lan,
On le garnit de lhistoire de notre vie,
Affaires, amours, jours et nuits,
Tout sy inscrit précisément.
Elle révèle tout de vous,
Que vous soyez génial ou fou.
Parfois anglaise ou bien gothique,
Celle des Étrusques reste hermétique.
Souvent créées par des religieux,
Elles peuvent être scientifiques,
Officielles ou diplomatiques.
Elles paraissent impossibles sur un magnétophone.
Vieux zinc tout bricolé
Ou oiseau de grande ponctualité,
Cest aussi une façon de se héler.
Il fait sauter les courageux,
Et tomber les chaussettes quand il est lâche.
Arme des potaches,
Des petites filles, il tient les cheveux.
Cest un étalon qui ne galope pas,
Un âge bienheureux et plein déclat,
Et sil se laisse facilement aplatir,
On ne prend pas ses feuilles pour écrire.
Je suis le quotidien compagnon du menuisier,
Mais je préfère la menthe comme compagne de mes soirées.
D'avril c'est une farce,
De mer ou d'eau douce,
Il est excellent pour la santé,
Il est parfois volant.
Intime on lui confie nos secrets,
Interne pour les collaborateurs de l'entreprise,
On le lit, on l'écoute
Ou le suit chaque jour .
Elle est d'amour,
C'est une tomate,
Ou une friandise,
On y tombe parfois suite à une émotion forte,
Qualifie souvent un être niais ou crédule.
Déposition officielle effectuée à la barre,
Il est parfois d'amitié.
Elle chagrine le matin,
Mais le soir redonne espoir.
Qu'elle soit de famille ou d'idée, il ne faut jamais la provoquer
Car si chacun peut la chercher,
Nul ne sait comment l'arrêter.
En berceau ou surbaissée,
celle du ciel n'est pas celle du palais.
Il est ironique quand il est jaune,
Tranquille quand on y habite.
Il nous arrive même d'en boucher un.
Menacé, son instinct nous pousse,
On veille à celle des documents ;
Elle a ses méthodes et ses moyens.
Fruit il nous ravi,
Amoureuse elle peut être violente, Selon Mathieu elle nous ferait aimer Bach.
A minuit on la célèbre,
Basse! elle ne fait rien pour qu'on l'entende.
On en use pour persuader,
En accorder, c'est faire confiance.
Elles font le tour des continents.
On les gravit difficilement, Mais se les tenir, c'est quand même beaucoup rire.
Qu'ils soient noirs, gris ou bien blancs,
Il n'y en a pas deux semblables,
Et restent pour nous impalpables.
Dans la cuisine je suis utile,
Dans la nature, redouté.
Mon épaule le porte,
Mais si je change de coté... d'avis également j'aurais changé.
Il est bon quand il est tôt.
Quand il est tôt, il est petit.
Mais aussi il peut être beau.
Et quand il est tard, il est fini.
L' émotion parfois nous le fait ressentir,
Le froid parfois de lui nous en fait parcourir.
Seul l'amour nous fait vivre le grand.
Quand on y est , on ne sait ou on est.
Je suis à la fois maternelle et paternelle,
Quand je suis nerveuse, je n'en suis pas excitée pour autant,
Au chemin de la selle, parfois je contribue.
D'air, je sais isoler,
Pneumatique cela n'est pas pour autant que je roule,
Quand le sommeil gagne, je suis le bien venu.
Quand je suis longue je suis favori,
D'éléphant me fait une belle jambe,
A quatre, je n'en suis pas plus rapide.
Unique, je domine!
A ma façon est le reflet de mon opinion...
Mais c'est fleurie que j'exprime toute ma grâce !
Au féminin l'écrivain me redoute.
Peu coloré je peux apporter l'ivresse...
Il m'arrive d'être glissant.
Mais de sport je retrouve mon adhérence.
Accidenté je deviens un tout !
En étant sur ses gardes, on y veille.
En l'air, je suis légère.
Quand je promets on me trouve belle.
Face au silence, je suis d'argent.
Sachant voler, je n'en suis pas moins bon nageur,
Sur l'échiquier je ne manque pas de raison.
Je peux être humide ou pas,
Les hommes prennent plaisir à me regarder,
Les gaulois se méfient de moi.
Plus étroit chez les célibataires que chez les mariées,
Lieu de punition pour certains,
Mort, sur moi tu reposes.
J'absorbe à fort exposant,
J'existe aussi pour le corps,
On me trouve dans les pièces deau.
Je n'existe pas et pourtant on me nomme,
De l' heure dépends mon influence,
J'aime à imiter vos pas au gré du soleil.
D' air, je peux partir sans prévenir.
De joie, j'offre aux hommes un plaisir intense mais éphémère..!
De ferme, je suis vouée à servir ses mêmes hommes.
Anglaise, je change tous les jours.
A m'ouvrir, parfois on se cultive.
Sombre, j'éclairci !
Doublé, je ne manque pas de tranchant !
A trop me porter aux lèvres, survient l'enivrement !
Je suis parfois lourde à porter,
De lorraine j ai double traverse,
Un chemin je suis pour le croyant.

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